Fiches individuelles


MOUNIER ou MUNIER Benoit
Laboureur à Marizy

Naissance : vers 1650
Testament : 21 juin 1721 reçu maître FEBVRE, notaire au Mont-Saint-Vincent
Au profit de son fils Louis (Cite AD 71 3E16833).
Décès : après 21 juin 1721

Père : MUNIER Benoit ( ~ 1630 - > 1722 )
Mère : DESPLACES Pierrette ( ? - < 1674 )

Union 1 : LAPLACE Pierrette ( ? - < 1702 )
Mariage religieux : avant 1679
Enfants : MUGNIERE Anne ( ~ 1679 - < 1726 )
MONNIER Philiberte ( ~ 1680 - < 1711 )
MONNIER Louis ( 1685 - <> 1746 & 1761 )
Union 2 : ALEVESQUE Marguerite ( ~ 1648 - < 1719 )
Mariage religieux : après 1688
Enfant : MOUNIER Philibert ( 1694 - ? )
Note individuelle : Par son mariage avec Marguerite ALEVESQUE, devient cousin de Philibert DESAUTEL, époux de Jeanne BAUDOT.

MOUNIER Benoit
MUNIER Benoit
 
 
DESPLACES Pierrette
 
 




MOUNIER Blanche
Naissance : 1839
(Source : fichier Geneanet de Jean Marshall).
Décès : 1841
(Source : fichier Geneanet de Jean Marshall).

Père : MOUNIER Jean Louis Henri ( 1811 - 1894 )
Mère : VERNEY Louise ou Henriette ( 1818 - 1898 )

MOUNIER Blanche
MOUNIER Jean Louis Henri
MOUNIER Louis Claude Henri
BERGER de SAINT-DIDIER Marie Elisabeth
VERNEY Louise ou Henriette
 
 




MOUNIER Claude Philibert Edouard dit Edouard
Homme politique, ministre de Napoléon 1er - Baron d'Empire et Pair de France, grand officier de la Légion d'honneur

Baptême : 3 décembre 1784 à Grenoble 38 ( Source )
Né la veille, il eut pour parrain Claude BOREL, procureur au parlement, aïeul maternel de l'enfant, et pour marraine demoiselle Marie Rose MOUNIER, sa tante, qui signent.
Décès : 11 mai 1843 à Paris 75 Passy
(Source : Généalogie de la Famille Portalis).
Inhumation : à Paris 75 cimetière du Père-Lachaise, division 32

Père : MOUNIER Jean Joseph ( 1758 - an XIV )
Mère : BOREL Marie Philippine ( 1762 - an III )

Union : LIGHTONE Wilhelmine ( 1789 - 1881 )
Mariage : 11 mai 1810 à Legnica en Basse-Silésie, à l'époque Leignitz, en Prusse
Note individuelle : Fils du député Jean-Joseph MOUNIER (1758-1806), il suivit sa famille en émigration et ne rentra en France qu'après le 18 brumaire.
Nommé en 1806 auditeur au Conseil d'État, il fut en 1807 et 1808 intendant à Weimar puis en Silésie.
Adjoint en 1809 au secrétaire de cabinet de l'Empereur avec le titre de secrétaire, il reçut le 31 décembre de la même année la dignité de baron avec une dotation de 10 000 francs de rente en Poméranie.
Maître des requêtes en 1810, intendant des bâtiments de la couronne en 1813, Napoléon le gratifia d'une action de 15 000 francs du Journal de l'Empire devenu plus tard le Journal des Débats.
En 1814, le roi le confirma dans ses fonctions. Il se retira en Allemagne pendant les Cent-Jours. Porté par le collège de Grenoble comme candidat à la députation en 1815, il ne fut pas élu.
Conseiller d'état en 1816, président de la commission mixte de liquidation en 1817, directeur général de l'administration départementale et de la police en 1818, il perdit ses fonctions à la chute du ministère Richelieu.
Pair de France le 5 mars 1819, il reprit en 1820 la direction générale de l'administration départementale et de la police après avoir refusé le ministère de l'Intérieur pour lequel il ne se sentait pas assez d'expérience. Il quitta ces fonctions à la fin du ministère Richelieu (décembre 1821) et fut mis en service extraordinaire au Conseil d'État.
Il ne reprit un service actif qu'en 1828, notamment comme rapporteur des commissions chargées de présenter le projet de loi sur l'administration départementale et municipale. A la révolution de 1830, il quitta le Conseil d'État mais il continua de siéger à la Chambre des pairs et à y prendre une part très active. A la fin de 1840, alors que GUIZOT venait de quitter l'ambassade de Londres, il y accepte une mission de quelques semaines. Il mourut à Passy en 1843 après de longues et cruelles souffrances.
C'est sous le Directoire (1796) qu'un ministère de la Police fut créé dont FOUCHÉ se retrouve à la tête. Le 28 pluviôse an VIII apparut la préfecture de police qui fonctionna tout de suite avec le ministère.
Le nom de FOUCHÉ est très lié à la police. En effet, il occupa ce ministère dès sa création jusqu'au 15 septembre 1802, date de sa première suppression. Les services de police furent alors rattachés à ceux du Grand Juge. Rétabli le 21 messidor an XII (10 juillet 1804), le ministère de la Police fut de nouveau dirigé par FOUCHÉ à qui SAVARY succéda en juillet 1810. Quatre arrondissements, pour l'ensemble du territoire, lui étaient rattachés, à la tête desquels se trouvait un Conseiller d'État (RÉAL, PELET de la Lozère et DUBOIS). A l'époque, on trouvait une trentaine de commissaires généraux de police dépendant du ministre pour les grandes villes ou du préfet pour les autres villes. Ils dirigeaient les nombreux agents de police du territoire qui travaillaient sur place avec des mouchards ou avec des indicateurs pour l'étranger.
La gendarmerie aussi la police. Il y avait une police spéciale pour la contrebande, une police des prisonniers de guerre, une police des ouvriers, mais la police, que l'on trouvait partout, était surtout politique. Chaque jour, le ministre présentait à l'Empereur un «bulletin de police» qui contenait l'analyse de la correspondance, le résumé de l'activité policière des 24 heures, notamment pour Paris, et «l'ordre de police» pour la nuit suivante. Outre les affaires administratives et criminelles, la police gérait la censure, en collaboration avec le «cabinet noir» qui dépendait de la direction des postes et ouvrait les lettres.
En 1814, le ministère et la préfecture de police furent supprimés et leurs prérogatives revinrent à une nouvelle institution, la direction générale de la police qui ne résista pas aux Cent-Jours. De nouveau, le ministère de la Police fut rétabli jusqu'en 1818 où il fut définitivement supprimé, la police était effectuée par les préfets sous l'autorité du ministère de l'Intérieur.
(Source : Fonds baron Mounier aux Archives Nationales).
Il est le fils du révolutionnaire Jean-Joseph MOUNIER, qu'il suit en émigration. Il rentre en France après le 18 brumaire. Il devient auditeur au Conseil d'État en 1806. L'année suivante, il est envoyé à Weimar et en Silésie en tant qu'intendant puis il entre au cabinet de Napoléon Ier en tant que secrétaire en 1809. Il est alors fait baron de l'Empire le 31 décembre 1809
Il se rallie à Louis XVIII en 1814 et se retire en Allemagne pendant les Cent-Jours. Il devient par la suite directeur général de la police et pair de France en 1819.
(Source : http://www.codes-et-lois.fr).
Il est le fils du révolutionnaire Jean-Joseph MOUNIER, qu'il suit en émigration. Il rentre en France après le 18 brumaire. Il devient auditeur au Conseil d'État en 1806. L'année suivante, il est envoyé à Weimar et en Silésie en tant qu'intendant puis il entre au cabinet de Napoléon Ier en tant que secrétaire en 1809. Il est alors fait baron de l'Empire le 31 décembre 1809.
Il se rallie à Louis XVIII en 1814 et se retire en Allemagne pendant les Cent-Jours. Il devient par la suite directeur général de la Police et pair de France en 1819.
Les papiers personnels de Claude-Philibert-Édouard MOUNIER sont conservés aux Archives nationales sous la cote 234AP
(Source : Encyclopédie en ligne Wikiédia).
Auditeur au Conseil d'Etat, par décret du 11 février 1806, puis maîtres des requêtes par décret du 23 août 1810, conseiller d'Etat par ordonnance royale du 24 août 1815, directeur général de l'Administration départementales et de la police, promu chevalier de la Légion d'honneur le 15 aout 1809, officier le 18 avril 1813, commandeur le 1er juin 1818, grand officier le 1er mai 1821. Demeurait à Paris, 1er arrondissement, au 30 rue Caumartin, en 10/1816.
(Source : LH/1952/56).

MOUNIER Claude Philibert Edouard
MOUNIER Jean Joseph
MOUNIER François Antoine
PRIEZ Marie Claire
BOREL Marie Philippine
 
 




MOUNIER François Albert
Père : MOUNIER Jean Louis Henri ( 1811 - 1894 )
Mère : VERNEY Louise ou Henriette ( 1818 - 1898 )

MOUNIER François Albert
MOUNIER Jean Louis Henri
MOUNIER Louis Claude Henri
BERGER de SAINT-DIDIER Marie Elisabeth
VERNEY Louise ou Henriette
 
 




MOUNIER François Antoine
Négociant à Grenoble, mardchand drapier, bourgeois de Grenoble

Naissance : 13 août 1734 à Lalley 38
(Source : voir fichier Geneanet de Jean Marshall).
Décès : 13 mai 1809 à Grenoble 38
(Source : voir fichier Geneanet de Jean Marshall).

Union : PRIEZ Marie Claire ( ~ 1737 - 1777 )
Mariage religieux : 25 janvier 1758 à Grenoble 38
(Source : voir fichier Geneanet de Jean Marshall).
Enfants : MOUNIER Jean Joseph ( 1758 - an XIV )
MOUNIER Louis Claude Henri ( 1768 - 1835 )


                     


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