Fiches individuelles


BÉRARD Virginie
Naissance : 24 mars 1959 à Caen 14

Père : BÉRARD Michel Henri Richard ( 1933 - ? )
Mère : CHAPERON Laurette Geneviève ( 1935 - ? )

Union : MAILLARD Vincent ( ? - ? )
BÉRARD Virginie
BÉRARD Michel Henri Richard
BÉRARD Christian
VARCOLLIER Colette
CHAPERON Laurette Geneviève
 
 




BÉRARD de MONTALET (de ) Charles
Capitaine au régiment Royal-Cavalerie - Baron de Cleyrac

Union : DENIS Marguerite ( ? - ? )
Mariage par contrat : 4 mars 1669 à Le Puy-en-Velay 43
Enfant : BÉRARD de MONTALET (de ) Marguerite ( ? - > 1744 )
Note individuelle : Il s'établit au Puy.
Il fut maintenu, avec son frère, dans leur noblesse par jugement souverain du 11 janvier 1669 ((source : Armorial de la Noblesse de Languedoc - Généralité de Montpellier, par Louis de LA ROQUE, tome I, page 71).
De BÉRARD-MONTALET-ALAIS, marquis de Montalet, barons d'Alet, de Vestric, sgrs de Potelières, de Clayrac, de Tarabias, de Bernis, de Fontarèches, de Nages, d'Aubort, etc...
Grande race du Languedoc sortie des Cévennes. Filiation depuis Arnauld de BéRARD, chevalier, sgr de Montalet, etc..., vivant en 1180. L'un de ses descendants fut désigné comme chef de l'ambassade envoyée en 1304, par Philippe le Bel, à Benoît XI lors de son élévation au pontificat. Guillaume de BéRARD de MONTALET, chevalier, auquel remontent les preuves de cette maison maintenue le 11 janvier 1669, est cité dans un hommage de 1312. possessionnée en Velay par alliance avec les FILLÈRE du CHARROUIL (1647), les DENIS d'ALLEMANCE et les VEYRAC de LARDEYROL (1849). Nombreuses branches et illustrations. Un premier consul du Puy (1674); un lieutenant des vaisseaux du Roi (1768); des officiers distingués de terre et de mer. Très belles alliances. Eteiente depuis peu.
Armes : d'azur (alias de gueules), au demi vol d'argent.
Devises : Donedc dent sidera sedem. -- Suaviter et fortiter.
(source : Armorial Général du Velay, par Georges PAUL, Marseille Reprints, 1975, page 49).
La maison de BÉRARD-MONTALET, originaire des Cévennes où elle réside encore, est connue par filiation suivie depuis Arnault de Bérard, chevalier, seigneur de Montalet, Saint-Ambroix, Potelières, Banassac, qui vivait en 1180. Un de ses petits-fils, N. de Bérard, seigneur de Mercœuil, fut chef de l'ambassade envoyée en 1304, par Philippe le Bel, à Benoît XI, lors de son élévation au pontificat. Guillaume de Bérard, son frère, fut l'auteur de la filiation prouvée devant M. de Bezons ; il eut pour fils Guillaume qui va suivre, et Hugues, cardinal de Bretagne en 1375.
La généalogie de cette maison depuis 1180 a été donnée d'après un arrêt du parlement de Toulouse du 2 août 1612.
(Source : Armorial du Pays d'Oc, par d'Agos).
Le château de Montalet constitue l'ensemble seigneurial le plus imposant de la haute vallée de la Cèze. A 275 mètres d'altitude, avec 1 hectare de superficie, il surplombe un méandre de la Cèze, et observe plusieurs voies de circulations connues dès l'Antiquité.
Au XIIe siècle, le château de Montalet et ses dépendances furent une " monnaie d'échange " entre l'évêque d'Uzès et le seigneur d'Anduze. Au XIIe siècle, le site aurait été investi par l'armée d'Amaury de Montfort.
"Arnault de Bérard fut assiégé dans son château de Montalet (…). Sur le point de succomber et de céder au nombre, Arnault mit lui-même le feu à son château. Profitant de la surprise que causait l'incendie à ses ennemis, il se jeta avec les siens sur les troupes de Montfort, dont il fit un affreux carnage… "
Le château de Montalet était équipé d'une immense citerne dans la cour centrale, alimentée par toutes les eaux de pluie qui s'écoulaient vers elle, ce qui permettait de tenir longtemps face aux assiégeants.
Malgré les réaménagements de la forteresse au XVe siècle, le château conserve plusieurs témoins architecturaux : portes en plein cintre, voûtes d'arêtes, baies à meneaux, meurtrières, cheminées, latrines en encorbellement, et des escaliers intra-muros conduisant au chemin de ronde. La façade sud-ouest présentait une porte d'entrée surmontée d'une bretèche qui s'est écroulée en 1980.
(Source : http://www.ot-saintambroix.fr).
BERARD de MONTALET
Languedoc et Provence
Marquis de Montalet, d'Alais et de Villebreuil, Vicomte d'Alais, Baron de Portes, Seigneur de Potelliéres, de Banassac, de Genouillac et autres lieux.
Armes :    De gueules au demi-vol d'argent.
Couronne : De marquis.
Supports : Deux sauvages.
Devise :    Donce dent sidera scolem (Tant que les cieux brilleront demeure).
La maison de BERARD de MONTALET, d'ancienne chevalerie est l'une des plus illustres et des plus importantes de la province du Languedoc, d'où elle parait tirer son origine et où elle a possédé des les temps les plus reculés, les seigneuries de Potelliéres et Montalet, avantage assez rare, auquel elle réussit, celui de prouver une filiation suivie depuis l'an 1180, comme l'atteste l'armorial général de la noblesse par d'Hozier.
On la regarde comme descendue des anciens comtes de Toulouse et à l'appui de l'assertion d'une aussi illustre origine, on allègue la possession qu'elle avait dans les temps les plus reculés et qu'elle avait encore en partie avant la révolution de 1789 d'une portion des Cévennes, héritage de cette maison, qui on le sait ont été du domaine direct des comtes de Toulouse.
Il est en effet certain et constaté par un contrat d'échange passé en 1199 entre Arnault de BERARD de MONTALET et ses frères, avec Bérard d'ANDUZE et Pierre BERMOND son fils, qu'au XIIème siècle les maisons de BERARD et de PELET possédaient par indivis la ville d'Alais, laquelle ayant appartenu aux comtes de Toulouse et en relevant alors immédiatement, leur avait sans doute été accordée avec plusieurs autres grands fiefs comme des biens patrimoniaux. Cette opinion n'a rien d'exagéré lorsque l'on considère la grande étendue des possessions de cette maison au XIIème siècle.
On sait en effet qu'à cette époque les BERMOND ayant proposé à l'évêque d'Uzès un échange qui parut trop peu avantageux à ce prélat, le seigneur Arnault de BERARD de MONTALET lui fit don de la ville de Saint Ambroix moyennant une légère redevance de la part des BERMOND pour en conserver le souvenir.
Une autre raison non moins forte que les précédentes c'est le nombre des seigneurs de la maison de Toulouse, qui vivaient au XIIème siècle de la descendance de Saint Guillaume Duc d'Aquitaine et portant le nom de BERNARD.
L'un d'eux aura été la tige d'une maison du nom de BERARD par dérivation de celui de Bernard. Ce qu'il y a de certain et de constant c'est que : anciennement cette maison a possédé la ville d'Alais et que les BERMOND qui l'ont possédée depuis, la tenaient d'elle, soit par vente ou mutation, soit comme il est plus probable par partage entre frères. On croit en effet que les maisons de BERARD et de BERMOND sortent de la même origine, ce qui peut être vraisemblable, dans les siècles surtout ou les noms distinctifs des familles n'étaient pas encore bien établis.
Cette possession importante ne peut être l'objet d'aucun doute, puisqu'elle est prouvée par les historiens les plus anciens, par plusieurs titres et actes conservés dans les archives du pays et notamment dans celle de l'église de la cathédrale d'Uzès et du château de Potellières.
Enfin pour corroborer cette assertion d'une manière irrévocable il nous suffira de faire remarquer la conformité exacte et l'identité parfaite des armes de la ville d'Alais avec celles de la maison de BERARD de MONTALET. Lorsque les villes prirent des armoiries il arriva souvent que leurs seigneurs les prirent et les adaptèrent. Ainsi la ville d'Alais ayant choisi pour emblème «de gueules au demi vol d'argent», les seigneurs de BERARD de MONTALET peignirent cet emblème sur leurs bannières et de toute ancienneté on voit qu'ils ont constamment porté ces armoiries.
Pendant les guerres qui arrachèrent aux RAYMOND leurs états patrimoniaux, Arnault de BERARD IIème du nom fut assiégé dans le château de Montalet par MONTFORT LAMAURY en personne accompagné de ses plus braves chevaliers. Sur le point de succomber et de céder au nombre Arnault mit lui-même le feu à son château. Profitant de la surprise que causait l'incendie à ses ennemis il se jeta avec les siens sur la troupe de MONTFORT LAMAURY dont il fit un affreux carnage, et se retira ensuite dans un de ses châteaux sur la montagne de Banassac. Lorsque la paix fut rétablie dans ces contrées, après que les guerres civiles eurent été apaisées, on fit rebâtir le château que son architecture fait connaître aisément aujourd'hui pour un monument du XIIIème siècle et dont la possession par les de BERARD de MONTALET est suffisamment démontré par des titres authentiques.
On voit encore la preuve que le demi vol était alors les armoiries des de BERARD de MONTALET, car il est sculpté en pierre sur la porte principale; le château lui même à la figure d'un demi vol exactement dessiné.
Plusieurs membres de cette famille ont pris part à diverses époques aux croisades et méritent d'avoir leurs noms et leurs armes dans une des salles du musée de Versailles.
Raoul de BERARD fit partie de la IIème croisade sous Philippe Auguste de 1188 à 1195. Une charte de Saint Jean d'ACRE datée de 1191 en fait mention.
Bernard de BERRE ou de BERARD, qu'on dit improprement originaire de la Provence sans doute à cause du voisinage et du renom de cette province plus grand alors que celui du Languedoc, assista à la Vème croisade avec BERMOND d'ANDUZE son parent ainsi que le prouve une charte de l'an 1218.
Enfin Hugues BERARD et Guillaume Pierre BERARD prirent part à la VIème croisade le premier en 1249, le second en 1250 ainsi que le prouve deux chartes originales conservés dans l'institut héraldique.
Il est sorti de cette maison un grand nombre d'hommes illustres entre autre :
- Un Bérard de BERARD de MONTALET (III. 2) chevalier, seigneur de Mercueil, chef d'une fameuse ambassade envoyée à Rome en 1304 par le roi Philippe le Bel au Pape Benoît XI pour aplanir toutes les difficultés qui s'étaient élevés précédemment entre le Saint Siège et la cour de France. Le Saint Père reçut splendidement l'ambassade dont la mission fut couronnée d'un plein succès. «Voyez histoire de France de Vely tome VII Mathieu VILANI, Baptiste THOIRON et autres».
- On cite encore un cardinal fameux Hugues de BERARD de MONTALET (IV. 2.2) connu dans l'histoire sous le nom de «cardinal de Bretagne». Il était né, non pas à Angers comme l'a avancé un auteur moderne, mais à Genouillac, dans les Cévennes comme on le voit dans l'ouvrage intitulé «Vita Pontificum Avenie» tome I ainsi que dans plusieurs autres auteurs. Hugues de BERARD de MONTALET était fils de Guillaume de BERARD et de Isabelle de PIERRE de GANGES on apprend par le testament de son père, passé par Vidal de Grosserouviere, qu'il était né avant 1340, et le couvent des Jacobins de Genouillac ayant été fondé par son père Jacques de BERARD en 1331, on présume qu'il ne l'était pas encore puisqu'il n'est pas fait mention de lui dans l'acte de fondation parmi ceux pour qui on était obligé de prier. Il avait été envoyé de bonne heure à Angers pour y faire ses études à l'université qui était très célèbre alors. L'évêque de Nantes ayant reconnu des talents dans ce jeune gentilhomme le fit chanoine de son église dont il devint archidiacre et doyen. Il fut ensuite élève successivement aux évêchés de Tréguier et de Saint Brieux. Ce fut alors qu'il fut fait chevalier de Bretagne et la Duchesse l'ayant créé cardinal, lui fit prendre le nom de «cardinal de Bretagne». C'est cette qualité qu'il porta lui même la parole lors de l'hommage de son souverain Jean IV au Roi Charles V, en 1344, et qu'il sut par sa fermeté et son adresse, éviter toutes les difficultés de l'hommage lige que réclamait la cour de France et de l'hommage simple qu'entendaient donner le Duc de Bretagne et ses vassaux «Actes de Bretagne, tome I collection 1608». Il mourut en 1384 à Rome ou l'on voit son tombeau. Il avait le titre des quatre couronnes. Quelques auteurs ont commis une erreur en traduisant ses noms latins BERARDUS de MONTALO par Bérard de Montalain et Montalaix au lieu de Montalet mais le savant M Baluze les a réfutés. N'est-il pas clair d'ailleurs que le nom ancien de Mons Alatune qui se trouve dans les anciens titres signifie Montalet et non pas Montalain?
- Il a existé aussi un archevêque de Milan du même nom qu'on croit être de la même famille ; mais comme le nom de son père ainsi que sa patrie sont restés ignorés nous nous contenterons seulement de le relater ainsi que le martyr Saint BERARD de l'ordre de Saint François que la tradition fait appartenir à cette maison.
- Parmi les illustrations les plus récentes il faut citer Charles de BERARD (XIII) marquis de MONTALET qui était en 1622 commandant des mousquetaires et qui reçut des marques particulières de l'affection du Roi Louis XIII, lorsque voyageant en Languedoc il passa par Alais ou il séjourna. Le Marquis de Chambonas, chevalier des ordres, son beau-père, le présente à sa majesté avec ses six frères, dont quatre, ainsi que lui, servaient dans ses armées. Le Roi voulut bien leur témoigner sa satisfaction et loua surtout le zèle de l'aîné la défense de la religion et les droits de son souverain.
- Jacques de BERARD, (XIV) baron d'Alais fils du précédent, ayant été attaqué dans la ville d'Alais par un parti considérable de protestants n'en laissa pas échapper un seul. Tous périrent sous ses coups ou sous ceux de ses serviteurs qui l'accompagnaient. Il planta aussitôt sur le champ de bataille une croix de bois qu'on portait devant lui comme une marque de chef catholique. Les officiers municipaux en élevèrent bientôt une de fer entre le pied des murs du château et la rivière du Gardon qu'on nomme encore croix de Baron.
- A la même époque vivait un BERARD qui fut gouverneur de Provence.
La maison de BERARD se recommande encore par les alliances qu'elle a contractées avec presque toutes les grandes maisons du royaume et particulièrement avec celles du Languedoc au nombre desquelles nous citerons celles de CHATEAUVIEUX, de BEAUREGARD, de la FARE, d'ENTRAIGUES, de CAMBIS, de SUFFREN saint TROPEZ, de BUDOS, de la ROCHEFOUCAULD, de CASTRIES, de PONTEVES, de BRAGELONGUE, de VIPART, de BOUDES, de RICHEMONT, etc., etc…
Elle a même eu l'honneur d'être apparentée à la maison royale de Bourbon ; Cécile de BERARD de MONTALET étant, par la maison de BUDOS PORTES, une des aïeules de Marguerite Charlotte de MONTMORENCY de CONDE. Ces diverses alliances jointes à une filiation exactement et strictement prouvée depuis 1180, quoiqu'on trouve beaucoup de titres, contrats, actes de fondation et donation bien antérieur, ainsi que la possession immémoriale et constante de plusieurs grandes et belles terres, font dire à M de BAVILLE, intendant du Languedoc, dans ses mémoires pour servir à l'histoire du Languedoc, que les maisons de BERARD de MONTALET et de la FARE sont sans contredit les meilleures des provinces ou elles sont établies.
D'après la généalogie publiée dans l'Armorial général, le premier degré connu de la maison de BERARD est formé par Arnault de BERARD seigneur de MONTALET ou Montalain, en latin Monte-Aleto, Saint Ambroix, Potellieres, Banassac, coseigneur d'Alais, de Genouillac et autres lieux, vivant en 1180. Sa descendance directe continue jusqu'à Louis de BERARD chevalier seigneur de MONTALET, d'Alegre, de Potellieres et autres lieux qui formait la septième génération depuis Arnault de BERARD. Louis de BERARD épouse en 1362, sa cousine Alix de CHATEAUVIEUX en faveur de ce mariage Guillaume de BERARD, père du futur, lui fit cession de tous ses biens. En 1386 Louis de BERARD fit hommage pour la seigneurie de Montalet à Thiébaud de BUDOS seigneur et Baron de Portes. Alix sa femme, par testament du 10 octobre 1404 institue pour héritier leurs deux enfants ; Bérard de BERARD et Jean de BERARD.
Bérard de BERARD, chevalier, fils aîné de Louis de BERARD et Alix de CHATEAUVIEUX, forma la première branche des marquis de MONTALET qui a toujours tenu en Languedoc un rang distingué et qui recueillit en partage les seigneuries de Montalet, d'Alègre, de Potellières et plusieurs autres terres considérables. Il épousa :
Premièrement, le 14 octobre 1380 damoiselle Isabelle d'USSEL, dont il n'eut pas d'enfants. Deuxièmement le 12 février 1411 Guillemette de MOREL de PIERRELATTE, dont il eut Antoine de BERARD qui a continué la filiation. La descendance directe de ce dernier s'est éteinte en la personne de Marie Charlotte Alix de BERARD de MONTALET appelée d'ALAIS, née le 17 juin 1762, et mariée à M. le vicomte de SUFFREN de Saint TROPEZ, neveu du célèbre amiral de ce nom, dont les glorieux succès ont jeté tant d'éclat sur la marine française. Avant son extinction cette branche avait formé plusieurs rameaux tel que :
1 Celui des Marquis de MONTALET, établi d'abord à l'île de Saint-Domingue, ensuite à Savannah, dans les états unis, où ils avaient de grandes propriétés. Cette branche est éteinte ; il n'en reste plus qu'un membre fort âgé qui est venu habiter la Normandie.
2 Celui des Marquis de VILLEBREUIL, qui sont éteints.
3 Celui des Marquis de MONTALET qui existe encore et qui est issu de François de BERARD marquis de MONTALET, quatrième fils de Jean Scipion de BERARD de MONTALET, baron d'Alais.
Jean Scipion de BERARD de MONTALET, baron d'Alais, vicomte de Clayrac et de Potellieres seigneur de Montagnac, Méjannes, Boisson, le Perret, Molieres, les Bousigues, le Lucriere, le Cayla, Garnerie, Ganimac, Boui, Banassac, Veynerie, Auzon, les Arénes, Alegre, Arlandes, Saint Paul et plusieurs autres terres que sa maison a toujours possédées, à l'exception d'Alais, dont il fut coseigneur, de Rousson et Saint Paul, qui viennent du chef d'Isabeau de CAMBIS sa grand-mère avait épousé le 23 février 1732, la sœur du marquis de PERUSSIS, lieutenant général des armées du Roi, dont il a laissé quatre fils :
1 Jacques Marcellin de BERARD de MONTALET, vicomte d'Alais par cession, à l'occasion de son mariage avec la fille aînée du marquis de CALVIERE, lieutenant général des armées du roi, et commandeur de Saint Louis. Il a été page du Roi et a servi dans la cavalerie. Il ne lui resta de son mariage qu'une fille Alix de BERARD de MONTALET, demoiselle d'Alais, qui hérita de tous les biens de la branche aînée de PERUSSIS et une partie de celle d'Avéjan, du chef de sa grand-mère.
2 Le baron de MONTALET qui fut capitaine aide major au régiment du colonel général de cavalerie et page de sa Majesté.
3 Le Comte de MONTALET, marquis de VESTRIC, seigneur de Fontareches, Tharabias, Bernis, Valsan et autres lieux, ancien officier de marine, qui se retira du service avec la croix de Saint Louis et le brevet de capitaine de vaisseau. Il a épousé l'héritière de la branche de MONTALET VESTRIC, dont il a eu deux filles.
4 le marquis François de BERARD de MONTALET, le seul des quatre qui ait continué la descendance jusqu'à nos jours.
Jean Scipion de BERARD de MONTALET avait eu six frères :
1 L'aîné l'Abbé d'ALAIS de MONTALET, fut vicaire général de Laon, Chanoine et Doyen de la cathédrale d'Alais.
2, 3 et 4 trois autres furent lieutenant colonel chevaliers de Saint Louis dont un, nommé commandeur de Montalet, est mort retiré avec le brevet de colonel. Il avait été blessé plusieurs fois.
5 Le chevalier, titré Marquis de Montalet depuis son mariage, a laissé postérité. Il servit avec distinction et fut nommé aide de camp du Maréchal duc de la Fare, son oncle maternel, emploi dans l'exercice duquel il eut deux chevaux tués sous lui. Il est mort commandant de ville et château d'Alais, gouverneur de Portes et Chevalier de Saint Louis. Il avait épousé Jeanne Françoise de la CROIX de CASTRIES, nommée marquise douairière de MONTALET, sœur de l'évêque de Vabres et cousine du marquis de Castries, lieutenant général et chevalier des ordres ; il en eu trois enfants : Marie Louis Régis de BERARD de MONTALET, nommé Abbé d'Alais, Mademoiselle de BERARD, Mademoiselle de MONTALET, reçue à Saint Cyr en 1771.
Ainsi s'éteignit la branche des MONTALET CASTRIES. La branche de BERARD de MONTALET, vicomte de Valran est absolument éteinte. La branche aînée des BERARD MONTALET VESTIC, qui possédait de si belles propriétés dans les environs de Nîmes et de Montpellier, s'est fondue dans la maison de la Rochefoucauld car la dernière héritière de cette branche, Louise Françoise de BERARD qui épouse François de Thoiras, parent du maréchal de ce nom, maria en 1715, sa fille unique Louise Nicole de Thoiras avec le Duc Alexandre de la Rochefoucauld.
Quand à la branche cadette, renouvelée par la branche de VILLEBREUIL, elle s'éteignit dans la ligne masculine par la mort du dernier Marquis de VILLEBREUIL et de l'Abbé de MONTALET, ancien vicaire général de Sens, mort en 1771, doyen des Abbés commendataires, et dans la ligne féminine elle s'est fondue dans la maison de Sollar par l'alliance de Marie Claire Collette de BERARD de MONTALET-VILLEBREUIL, mariée en 1eres noces au marquis de la CHETARDIE, en secondes noces à Ferdinand Auguste de SOLLAR comte de Monasterolles, ambassadeur extraordinaire de S.A.S. le roi de Bavière, lieutenant général de ses armées et premier gentilhomme de sa chambre.
(Source : cote AD 30 1 F 106 dossier 1).
Autre arrêt de prise de corps contre les sieurs de Clairac, Chambon de La Valette et de Roix, accusés de s'être battus en duel (2)
Note 2 : Charles de Bérard, sieur de Clairac, établi dans le Velay par son mariage avec Marguerite DENIS d'ALLEMANCES qui appartenait à une famille de robe du Puy (Adrien Sicler, Chiromancie royale, p 32) rapporte qu'un poison de ciguë fut donné, en mars 1660, au brave Clairac, beau-frère de M. le baron du Charrouil, juge-mage de la ville du Puy, qui déjà agissoit puissamment sur la chaleur naturelle. Le charlatan ajoute il me fit l'honneur de se servir de mès remèdes, et dans les quinze jours je le rendis en si parfaite santé qu'il est encore plein de vie. Nous avons vu que sa soeur Laurence de Bérard avait épousé en secondes nocesle juge-mage Marcellin de Fillère.
(Source : Annales de la Société d'agriculture, sciences, arts et commerce du Puy , 1870 (T30), p 50).





BÉRARD de MONTALET (de ) Marguerite
Décès : après 15 janvier 1744

Père : BÉRARD de MONTALET (de ) Charles ( ? - ? )
Mère : DENIS Marguerite ( ? - ? )

Union : CHOMEL Jean ( ? - < 1744 )
Mariage par contrat : 5 décembre 1694
Enfant : CHOMEL Maurice ( ? - ? )
BÉRARD de MONTALET (de ) Marguerite
BÉRARD de MONTALET (de ) Charles
 
 
DENIS Marguerite
DENIS Isaac
GÉRENTÈS Marie




BERARD de TREMOLLES Catherine
Naissance : vers 1661
Inhumation : 9 novembre 1688 à Mornay 71

Union : DESAUTELS Jean ( ~ 1659 - 1731 )
Mariage religieux : 13 mars 1685 à Charolles 71
Dispense du 4ème degré.
Enfants : DESAUTELS Philibert ( 1685 - 1685 )
DESAUTELS Catherine ( 1686 - 1686 )
DESAUTELS Claude ( 1687 - ? )
Note familiale : Dispense de 4° degré.
Note individuelle : Fille de Philibert BERARD de TREMOLLES et d'Etiennette QUARRÉ.





BERARDIER Marie
Décès : avant janvier 1744
(Source : voir fichier Geneanet de Georges David).

Union : FURET Jean ( 1708 - < 1787 )
Mariage religieux : 27 novembre 1734 à Saint-Etienne 42 paroisse Notre-dame
(Source : voir fichier Geneanet de Georges David).
Note individuelle : Fille de Jean BERARDIER et d'Andée MURAT (Source : voir fichier Geneanet de Georges David).



                     


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