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Note individuelle
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Fils de François ROYON et de Marie BERGER, du Pont de Malsaures.
Il est probable que Jean ROYON, époux de Marie CHAUSSE, soit plutôt celui né en 1729 (veuf de Anne PEYRARD) plutôt que son frère né en novembre 1746 qui n'aurait eu que 16 ans au moment du mariage.
Témoins au deuxième mariage : Claude PEYRARD, Jean-Claude PEYRARD (à cause du 1er mariage avec Anne Peyrard ?), Mathieu CHAUSSE, Jean BERGOUGNON, Vital ROYON. Claude PEYRARD pourrait être le frère de Anne, né le 22 décembre 1723 ; et Jean-Claude, son frère né le 14 juillet 1737. Le 10 juin 1767, chez Me GIGONNET, Catherine BERGER veuve de Pierre JURINE reçoit " 300 livres moins un sol de Jean Royon fils de feu François Royon... pour le montant de la promesse consentie par ledit feu Royon audit feu Jurine le troisième juin 1746. " (source : Jean-Baptiste Royon).
De 1769 à 1774 au moins, il est en procès pour éviter de payer " une dixme à la gerbe " en plus de " la dixme ordinaire " pour une propriété enclavée dans le Mas de la Mure relevant du prieuré de Dunières, propriété des Jésuites de la Province de Lyon.
Le 31 décembre 1797, " Pardevant le notaire public à St Etienne (Me Lardon)... le citoyen Jean Royon cultivateur demeurant au lieu du Pont de Malezaure..." vend à Jacques son fils, domicilié au même lieu " le domaine à luy appartenant situé audit lieu consistant en bâtiments de maisons, granges, écuries, bassecour, jardins, occupés tant par lui que par des locataires, prés, terrains, paquiers et bois, moulins à blé, scie à bois ... et généralement tous les immeubles appartenant au vendeur sans exception... exempt de toutes charges si ce n'est des charges nationales que l'acquéreur sera tenu d'acuitter à compter du premier vendémiaire dernier... vente faite et consentie moyennant le prix de vingt mille francs monnaye métallique... acte fait dans le Cabinet du citoyen Pierre Antoine Fromage, le trois nivôse, l'an six de la République française...".
Jean ROYON est présent, le 8 août 1802, à la déclaration de décès de son frère Jacques. 8. Il dépose son testament en 1813 : "... l'an mil huit cent treize et le sept juillet... par devant nous François Philibert Vigne, notaire impérial ... à Saint-Didier... " Il lègue à Jacques son fis ainé, héritier et légataire universel, un quart de tous ses biens, antérieurement au partage des trois quarts restant pour lesquels Jacques est compté à parts égales. Il prend soin de confirmer la vente du trois nivôse an six de la République (acte sur jbat42).
Décès en 1816 : " Aujourd'hui sept janvier mil huit cent seize, devant moi Jean Sovignet maire de Saint-Victor... le matin dudit jour est décédé dans son domicile, Jean Royon, père du dénommé Jacques Royon, époux de Marie Chausse, à l'âge de quatre vingt six ans." Déclaration faite par son fils Jacques, 52 ans, du Pont, et Jean BESSON, 58 ans, propriétaire à la Mure. NB : Dans l'acte de cession entre ses deux fils, Jean et Joseph, en 1820, il est dit " décédé le 7 janvier 1817 ".
(Source : voir fichier Geneanet de Claude Royon).
Fils de François ROYON, et de feue Clauda BERGER, d'après le relevé A.G.L.
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