Fiches individuelles


RAMBAUD Martin Adrien Marie Henri dit Henri
Professeur de Lettres, journaliste et écrivain

Naissance : 21 janvier 1899 à Lyon (2ème) 69 au domicile parental, 24 rue du Plat ( Source )
Décès : 14 février 1974 à Lyon (7ème) 69

Père : RAMBAUD Martin Fleuri Joseph ( 1849 - 1919 )
Mère : BERLOTY Claudine Denise Marie Antoinette ( 1852 - 1928 )

Union : DUQUAIRE Suzanne Marie Louise Alice ( ? - ? )
Mariage : 31 décembre 1923 à Lyon (2ème) 69
Enfants : RAMBAUD Philippe ( ? - ? )
RAMBAUD Régis ( ? - ? )
RAMBAUD Jacques ( ? - ? )
Note individuelle : Professeur de lettres français, journaliste, écrivain spécialiste du roman anglais. Professeur de Lettres aux Facultés Catholiques de Lyon, il était le fils de Joseph RMBAUD, économiste et littérateur qui fonda en 1879 le quotidien conservateur Le Nouvelliste, qui devait essaimer de Lyon dans plusieurs autres régions françaises. S'il partageait avec Charles MAURRAS une amitié littéraire qui l'amena à témoigner en faveur du Maître de Martigues lors du procès de ce dernier devant la Haute Cour en 1945, Henri RAMBAUD n'adhéra jamais à l'Action française, même s'il donna quelques articles de critique littéraire à ce journal. Il collabora à La Revue universelle de Jacques BAINVILLE et Henri MASSIS, au Bulletin des Lettres et à la revue catholique Itinéraires de Jean MADIRAN.
(Source : voir fichier Geneanet base Pierfit).
Henri RAMBAUD est un professeur de Lettres français, journaliste et écrivain spécialiste du roman anglais. Il épouse le 3 janvier 1924 Suzanne DUQUAIRE, fille du docteur Maurice DUQUAIRE. Ils ont eu 3 enfants, Philippe, Régis et Jacques.
Professeur de Lettres aux Facultés Catholiques de Lyon, il était le fils de Joseph RAMBAUD, professeur à la faculté catholique et économiste, qui fonda en 1879 le quotidien conservateur Le Nouvelliste, qui devait essaimer de Lyon dans plusieurs autres régions françaises.
Après un séjour à Paris où il côtoie notamment Jacques BAINVILLE, Paul CLAUDEL, André MAUROIS, Paul VALÉRY et de nombreux autres écrivains, il revient à Lyon en 1932 pour succéder à son frère Régis qui avait pris la direction du Nouvelliste de Lyon. En raison de son âge, il sera nommé rédacteur en chef mais n'aura pas la direction du Groupe de presse. En 1942, alors que Lyon situé en zone libre, est envahi par les allemands, il refuse d'écrire sous censure allemande et propose le sabordage du titre. Mis en minorité au conseil d'administration, il quitte le journal créé par son propre père pour entrer en résistance. Il participe au réseau Témoignage chrétien.
S'il partageait avec Charles MAURRAS une amitié littéraire qui l'amena à témoigner en faveur du Maître de Martigues lors du procès de ce dernier devant la Haute Cour en 1945, Henri RAMBAUD n'adhéra jamais à l'Action française, même s'il donna quelques articles de critique littéraire à ce journal.
Il collabora à La Nouvelle Revue Française de 1924 à 1929, La Revue universelle de Jacques BAINVILLE et Henri MASSIS, au Bulletin des Lettres et à la revue catholique Itinéraires de Jean MADIRAN.
Publications : Il publia avec Pierre VARILLON Enquête sur les jeunes maîtres de la littérature en 1923, avec François DERAIS L'envers du journal de Gide en 1951, réédité en 1952. Son œuvre majeure est La voie sacrée qu'il publia en 1946.
Il préfaça et présenta de nombreuses œuvres : Le rouge et le blanc (Lucien LEUWEN) de STENDHAL en 1928, les œuvres de La Rochefoucault en 1929, La musique du piano des origines à Ravel de Louis AGUETTANT en 1954.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).
Le Nouvelliste de Lyon était un journal quotidien français, basé à Lyon, publié du 15 mai 1879 au 27 août 1944.
Conçu comme un journal catholique et populaire au moment où la presse conservatrice d'informations était soutenue par le diocèse de Lyon (Philippe Dufieux, « Presse, politique et architecture : l’hôtel du Nouvelliste de Lyon ou la visibilité urbaine d’un journal de combat », Gryphe, revue de la Bibliothèque municipale de Lyon, n° 16, mai 2007, p. 1-9 ; et Philippe Dufieux, Le mythe de la primatie des Gaules: Pierre Bossan (1814-1888), Jean-Michel Leniaud (préface), Lyon, PUL, 2004), Le Nouvelliste de Lyon était un quotidien, grand format à un sou (5 centimes). Il était le grand concurrent du journal Le Progrès et fut diffusé dans une quinzaine de départements.
Ses bureaux étaient situés au 14, rue de la Charité à Lyon (Bibliothèque municipale de Lyon) et 26 rue Feydeau à Paris. En 1898, le siège du journal fut placé sous la protection de Jeanne d'ARC, dont une statue sculptée par Paul-Émile MILLEFAUT orne la façade.
Pendant 40 ans, son directeur sera l'économiste lyonnais et professeur de droit Joseph RAMBAUD, père de douze enfants et ancien zouave pontifical, qui fonde et dirige également Le Nouvelliste de Bretagne. Par accord avec d'autres feuilles, lui et ses amis créent, autour de leur bureau de rédaction à Paris, un service commun aux différents quotidiens catholiques qu'ils gèrent ("Les Chrétiens et l'affaire Dreyfus", par Pierre Pierrard, page 52). Parmi eux, il y a L'Éclair de Montpellier, lancé contre Le Petit Méridional, Le Nouvelliste de Bordeaux, pour s'opposer à La Petite Gironde fondée en 1872, L'Express du Midi, opposé à La Dépêche du Midi, Le Journal de Roubaix et La Dépêche de Lille.
Des tentatives de création d'un Nouvelliste de Nantes puis d'un Nouvelliste de Bordeaux n'ont jamais eu un grand succès. Au moment où éclate la Première Guerre mondiale, le rédacteur en chef du Nouvelliste est Ernest Le CLERC. Dirigé de 1919 à 1932 par Régis RAMBAUD, fils du fondateur, il atteignit un tirage de près de 200 000 exemplaires par jour. L'autre fils de Joseph, Henri RAMBAUD, devint aussi journaliste et écrivain. Le groupe de presse accueillit les journaux de Paris repliés après l'armistice de 1940 et imprima notamment Le Figaro. Après une tentative de sabordage refusé par le Conseil d'administration, Henri RAMBAUD, dernier fils du fondateur, se retira du titre en 1942 et entra en résistance au sein de la presse clandestine lyonnaise.
Un faux numéro du Nouvelliste fut imprimé et distribué par les Mouvements unis de la Résistance (MUR) à Lyon le 31 décembre 1943. Après la Seconde Guerre mondiale, il fut interdit de publication pour cause de collaboration. Il bénéficia d'une mesure de grâce présidentielle par le président COTY.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).

RAMBAUD Martin Adrien Marie Henri
RAMBAUD Martin Fleuri Joseph
RAMBAUD André
COSTE Coralie
BERLOTY Claudine Denise Marie Antoinette
 
 




RAMBAUD Martin Fleuri Joseph dit Joseph
Membre de l'Institut de France, professeur de droit et d'économie politique à la Faculté catholique de Lyon, fondateur et directeur du "Nouvelliste". - Chevalier de la Légion d'honneur, commandeur de Saint-Grégoire-le-Grand

Naissance : 18 août 1849 à Lyon 69
(Source : voir fichier Geneanet de Bruno François Rougier).
Décès : 28 mars 1919 à Lyon 69
(Source : voir fichier Geneanet de Bruno François Rougier).

Père : RAMBAUD André ( 1809 - 1868 )
Mère : COSTE Coralie ( 1821 - 1893 )

Union : BERLOTY Claudine Denise Marie Antoinette ( 1852 - 1928 )
Mariage : 5 juin 1872 à Lyon 69
(Source : voir fichier Geneanet de Bruno François Rougier).
Enfants : RAMBAUD Joseph Marie Jean Régis ( 1875 - 1932 )
RAMBAUD André ( 1876 - 1946 )
RAMBAUD Anne-Marie ( 1877 - 1961 )
RAMBAUD Joséphine ( 1878 - 1942 )
RAMBAUD Emmanuel ( 1880 - ? )
RAMBAUD Louis Joseph Adrien ( 1884 - 1914 )
RAMBAUD Isabelle ( 1885 - 1975 )
RAMBAUD Blandine ( 1887 - 1976 )
RAMBAUD Marie-Louise ( 1889 - ? )
RAMBAUD Félix ( 1891 - 1950 )
RAMBAUD Martin Adrien Marie Henri ( 1899 - 1974 )
Note familiale : Ce couple aura 12 enfants (Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).
Note individuelle : Joseph RAMBAUD, né à Valloire le 10 avril 1729, se fixa à Givors, comme marchand. Il est l'arrière-grand-père de Martin-Joseph. Né à Lyon le 18 août 1849, Martin RAMBAUD fut professeur à la Faculté catholique de droit de Lyon. Membre correspondant de l'Institut, il fut le fondateur du Nouvelliste de Lyon et publia plusieurs ouvrages : un Traité d'economie politique et une Histoire des doctrines économiques en deux volumes. Il eut dix enfants, dont l'aîné, Régis, fut capitaine de corvette ; un autre de ses fils fut lieutenant de vaisseau. Martin RAMBAUD mourut le 28 mars 1919, laissant à sa nombreuse famille l'exemple d'une vie utile et laborieuse.
(Source : Histoire de la Maurienne, Louis Chanoine Gros, (Tome 6) 1815-1860, p140).
Professeur de droit et d'économie politique à la Faculté catholique de Lyon, fondateur et directeur du "Nouvelliste", quotidien lyonnais fondé en 1879. D'abord d'inspiration catholique libérale jusqu'au décès de son fondateur, il s'orienta dans l'entre-deux-guerres vers des positions nationalistes.
(Source : voir fichier Geneanet de Bruno François Rougier).
Joseph RAMBAUD est un professeur, économiste et homme d'affaires français. En 1879, il fonde le quotidien catholique Le Nouvelliste de Lyon. Il est issu d'une vieille famille lyonnaise, descendante et alliée des familles de soyeux et d'échevins lyonnais, il incarne ces familles fortunées, chrétiennes qui s'investiront au sein de la société, à l'instar d'Édouard AYNARD qui incarnera une sensibilité plus progressiste.
Élève des Jésuites de Mongré à Villefranche-sur-Saône de 1866 à 1869, il s'engage comme zouave pontifical en 1870, avant de suivre des études de droit et de lettres à Paris. Grand propriétaire terrien, actionnaire et administrateur des mines de Firminy, des forges de Terrenoire, après avoir été avocat quelques années, il se consacre à l'enseignement et participe à la création de la Faculté catholique de Lyon en 1875.
Titulaire d'une chaire de droit romain dès 1876, il enseigne le droit criminel et la législation financière, puis crée à partir de 1885 un cours d'économie politique. Il sera titulaire de la première chaire d'économie politique à Lyon, et la deuxième de France. Attaché aux valeurs sociales de l'Église, alors qu'est publiée l'encyclique Rerum Novarum en 1891, il développe une pensée économique indépendante, refusant d'entrer dans les courants traditionnels socialistes ou libéraux et demeure inclassable. En 1914, il est élu membre correspondant à l'Académie des sciences morales et politiques.
Souhaitant mettre sa fortune au service de ses idées, il fonde en 1879 le journal politique quotidien Le Nouvelliste de Lyon qui concurrence les progressistes Petit Lyonnais et Lyon Républicain, et va le diriger pendant 40 ans. Ce journal qui devait essaimer de Lyon dans plusieurs autres régions françaises atteindra plus de 100 000 exemplaires et sera ensuite dirigé par son fils Régis (et dépassera 200 000 exemplaires entre les deux guerres). Il défend les valeurs chrétiennes sans être lié à un quelconque parti politique. Joseph Rambaud y est "un doctrinaire intransigeant qui associe un libéralisme économique à la Le Play à une vision religieuse de l'ordre du monde" (Pierre Pierrard, Les chrétiens et l'affaire Dreyfus, Paris, 1998).
Il est membre de la Congrégation des Messieurs de Lyon et est très actif dans les milieux catholiques lyonnais. Sous la Troisième République, il soutient l'enseignement libre et contribue à créer la société civile de l'Externat Saint-Joseph pour mettre les biens immobiliers à l'abri des attaques républicaines.
Maire de Vaugneray de 1882 à 1892, il se présente sans succès aux élections cantonales en 1886 contre Auguste FERROUILLAT, propriétaire du Lyon Républicain.
Apparenté à Pierre-Thomas RAMBAUD, baron d'Empire, il est aussi le neveu de Frédéric OZANAM.
En 1872, il épouse Claudine BERLOTY, apparentée à Pauline JARICOT, dont il a douze enfants, dont notamment Régis RAMBAUD qui dirigera à sa suite Le Nouvelliste, et Henri Rambaud, professeur de lettres, journaliste et écrivain. Il est le grand-père du carme Philippe de La TRINITÉ et l'arrière-grand-père de Claire de CASTELBAJAC.
Œuvres : Des donations entre époux, Thèse de doctorat (1875); Le droit criminel romain dans les actes des martyrs (1885); Ce qu'il faut faire face en face des Lois Brisson, simples considérations présentées aux congrégations religieuses par un catholique 1891, Imprimerie Jevain; Éléments d'économie politique, Paris et Lyon (1894); Histoire des doctrines économiques, Paris et Lyon (1899); Histoire des doctrines économiques, Paris et Lyon (1899); Cours d'économie politique, Paris et Lyon (1910); Le songe du frère Lai, Lyon.
Il écrira de nombreux articles de droit, d'économie et de société dans les revues L'Université catholique (Les banqueroutes de l'ancien régime de 1700 à 1789, 1890 ; Le socialisme et les lois économiques 1891 ; L'idée de Dieu dans l'ordre économique, 1902 ; Christianisme et solidarité, 1906); La critique du libéralisme (Les catholiques de M. l'abbé Calippe, 1er septembre 1911; Le pacifisme chrétien, 15 septembre 1912 ; Le sens social, 15 août 1913 ; La valeur, le travail et le salaire d'après le discours de Sarlat, 15 septembre, 1er et 15 octobre, 1er décembre 1913).
Il écrit régulièrement dans le quotidien qu'il crée, Le Nouvelliste de Lyon, sans signer et écrira également de nombreuses critiques littéraires sous le pseudonyme de M. TRAMOY.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).
Le Nouvelliste de Lyon était un journal quotidien français, basé à Lyon, publié du 15 mai 1879 au 27 août 1944.
Conçu comme un journal catholique et populaire au moment où la presse conservatrice d'informations était soutenue par le diocèse de Lyon (Philippe Dufieux, « Presse, politique et architecture : l’hôtel du Nouvelliste de Lyon ou la visibilité urbaine d’un journal de combat », Gryphe, revue de la Bibliothèque municipale de Lyon, n° 16, mai 2007, p. 1-9 ; et Philippe Dufieux, Le mythe de la primatie des Gaules: Pierre Bossan (1814-1888), Jean-Michel Leniaud (préface), Lyon, PUL, 2004), Le Nouvelliste de Lyon était un quotidien, grand format à un sou (5 centimes). Il était le grand concurrent du journal Le Progrès et fut diffusé dans une quinzaine de départements.
Ses bureaux étaient situés au 14, rue de la Charité à Lyon (Bibliothèque municipale de Lyon) et 26 rue Feydeau à Paris. En 1898, le siège du journal fut placé sous la protection de Jeanne d'ARC, dont une statue sculptée par Paul-Émile MILLEFAUT orne la façade.
Pendant 40 ans, son directeur sera l'économiste lyonnais et professeur de droit Joseph RAMBAUD, père de douze enfants et ancien zouave pontifical, qui fonde et dirige également Le Nouvelliste de Bretagne. Par accord avec d'autres feuilles, lui et ses amis créent, autour de leur bureau de rédaction à Paris, un service commun aux différents quotidiens catholiques qu'ils gèrent ("Les Chrétiens et l'affaire Dreyfus", par Pierre Pierrard, page 52). Parmi eux, il y a L'Éclair de Montpellier, lancé contre Le Petit Méridional, Le Nouvelliste de Bordeaux, pour s'opposer à La Petite Gironde fondée en 1872, L'Express du Midi, opposé à La Dépêche du Midi, Le Journal de Roubaix et La Dépêche de Lille.
Des tentatives de création d'un Nouvelliste de Nantes puis d'un Nouvelliste de Bordeaux n'ont jamais eu un grand succès. Au moment où éclate la Première Guerre mondiale, le rédacteur en chef du Nouvelliste est Ernest Le CLERC. Dirigé de 1919 à 1932 par Régis RAMBAUD, fils du fondateur, il atteignit un tirage de près de 200 000 exemplaires par jour. L'autre fils de Joseph, Henri RAMBAUD, devint aussi journaliste et écrivain. Le groupe de presse accueillit les journaux de Paris repliés après l'armistice de 1940 et imprima notamment Le Figaro. Après une tentative de sabordage refusé par le Conseil d'administration, Henri RAMBAUD, dernier fils du fondateur, se retira du titre en 1942 et entra en résistance au sein de la presse clandestine lyonnaise.
Un faux numéro du Nouvelliste fut imprimé et distribué par les Mouvements unis de la Résistance (MUR) à Lyon le 31 décembre 1943. Après la Seconde Guerre mondiale, il fut interdit de publication pour cause de collaboration. Il bénéficia d'une mesure de grâce présidentielle par le président COTY.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).

RAMBAUD Martin Fleuri Joseph
RAMBAUD André
 
 
COSTE Coralie
COSTE Pierre Louis
CHARASSON Annette




RAMBAUD Maurice
Naissance : 17 juillet 1918 à Casablanca
(Source : voir fichier Geneanet base Pierfit).

Père : RAMBAUD Emmanuel ( 1880 - ? )
Mère : JULLIEN de POMMEROL Elisabeth ( 1884 - ? )

Note individuelle : Marié, il eut un enfant. (Source : voir fichier Geneanet base Pierfit).

RAMBAUD Maurice
RAMBAUD Emmanuel
RAMBAUD Martin Fleuri Joseph
BERLOTY Claudine Denise Marie Antoinette
JULLIEN de POMMEROL Elisabeth
 
 




RAMBAUD Philippe
Père : RAMBAUD Martin Adrien Marie Henri ( 1899 - 1974 )
Mère : DUQUAIRE Suzanne Marie Louise Alice ( ? - ? )

RAMBAUD Philippe
RAMBAUD Martin Adrien Marie Henri
RAMBAUD Martin Fleuri Joseph
BERLOTY Claudine Denise Marie Antoinette
DUQUAIRE Suzanne Marie Louise Alice
 
 




RAMBAUD Régis
Père : RAMBAUD Martin Adrien Marie Henri ( 1899 - 1974 )
Mère : DUQUAIRE Suzanne Marie Louise Alice ( ? - ? )

RAMBAUD Régis
RAMBAUD Martin Adrien Marie Henri
RAMBAUD Martin Fleuri Joseph
BERLOTY Claudine Denise Marie Antoinette
DUQUAIRE Suzanne Marie Louise Alice
 
 


                     


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