Fiches individuelles


MERLEY Joseph
Passementier

Naissance : vers 1830

Note individuelle : Passementier, demeurant 110 rue de la Mulatière, en 7/1862.





MERLEY Joseph Etienne - 34
Négociant, puis teneur de livres, puis arbitre de commerce

Naissance : 9 novembre 1806 à Saint-Etienne 42 ( Source )
Déclaration faite le lendemain à 16h00 par le père de l'enfant, en présence de Lambert BONSIN (?), 54 ans, domicilié rue des Fossés, et Claude TAVERNIER, 37 ans, employé à la mairie, domicilié place Roannel (?), qui signent.
Décès : 13 juin 1871 à Saint-Etienne 42 dans son domicile, 37 rue de la Loire ( Source )
Déclaration faite le lendemain à 10h00 par son gendre et le frère de ce dernier.
Témoin : GUINARD Victor Jean ( 1822 - > 1891 )


Père : MERLEY Jean Etienne ( 1763 - 1832 )
Mère : JACOB Antoinette ( 1769 - ? )

Union : CÔTE Marie ( 1809 - 1881 )
Mariage : 9 janvier 1837 à Saint-Etienne 42 ( Source )
Parmi les témoins, sont Pierre MERIEUX, 30 ans, marchand tanneur, Jerome BONNET, 45 ans, Jean MAZET, 27 ans, commis, résidant tous en cette ville, qui signent.
Témoin : MERLEY Jean-Baptiste ( ~ 1804 - ? )

Enfants : MERLEY François ( 1838 - 1903 )
MERLEY Jacques ( 1840 - 1896 )
MERLEY Marie Anne ( 1842 - 1928 )
Note familiale : Sur l'acte de mariage MERLEY/CÔTE, la mère de Marie CÔTE est dite "absente et présumée décédée, d'après l'affirmation, tant des parties que des témoins bas nommés".
Sur son acte de décès, Etiennette THOMAS est dite décédée "En la rue Rattauts(?) n° 1025 1°(?)",et "Epouse d'allexandre Coste marchand a Saint Etienne (Loire) agée de Trente Trois ans native de Lons Le Saunier departement du Jura dont Le Domicile D'apres la Declaration reçue est dans L'Etendue de notre commune".
Avait-elle quitté son époux pour retourner "chez sa mère"???...Ont-ils divorcé???...
Note individuelle : Commis négociant, domicilé rue des Jardins, à son mariage, en 1/1837.
Négociant demeurant place de l'Hôtel de Ville en 11/1838.

MERLEY Joseph Etienne
MERLEY Jean Etienne
MERLEY Antoine
CHAUVE Jeanne Marie
JACOB Antoinette
JACOB Pierre
DURAND Marie Benoite




MERLEY Léonard
Baptême : 8 novembre 1787 à Saint-Etienne 42 paroisse Notre-Dame ( Source )
Né la veille, il eut pour parrain Léonard MERIEUX, canonnier, qui signe avec le père, et pour marraine Marguerite MERLEY, qui ne sait signer.

Père : MERLEY Jean-Baptiste ( ? - ? )
Mère : MERIEUX Marie ( ? - ? )

MERLEY Léonard
MERLEY Jean-Baptiste
MERLEY Claude
 
MERIEUX Marie
MEYRIEUX Etienne
 




MERLEY Léonarde
Naissance : 25 avril 1712 à Saint-Etienne 42 paroisse Notre-Dame
(Source : voir fichier Geneanet de Dominique Faletta Celdran).

Père : MERLEY Pierre ( 1667 - 1744 )
Mère : GIRARD Pernette ( 1673 - 1747 )

Union : PEYRET Claude ( ? - ? )
Mariage religieux : 5 juin 1735 à Saint-Etienne 42 paroisse Notre-Dame
(Source : voir fichier Geneanet de Dominique Faletta Celdran).
MERLEY Léonarde
MERLEY Pierre
MERLEY Jacques
CHOTET Etiennette
GIRARD Pernette
 
 




MERLEY Louis
Sculpteur et graveur en médailles - Chevalier de la Légion d'honneur

Naissance : 6 janvier 1815 à Outre-Furan 42 à l'Heurton ( Source )
Décès : 17 septembre 1883 à Paris 75
Ou le 20, selon la base Leonore.

Père : MERLEY Jean-Baptiste ( ~ 1774 - ? )
Mère : BAROULLIER Jeanne ( ? - ? )

Note individuelle : Sculpteur et graveur de médailles, grand prix de Rome 1843, pensionnaire de la villa Médicis de 1844 à 1847. Il fut l'élève de son frère Pierre, ciseleur, de dix ans son aîné (1805 - 1837). Il a obtenu le premier prix du concours des monnaies en 1843. Chevalier de la Légion d'honneur. Il fut aussi le sculpteur du groupe allégorique du fronton du Palais de Justice de Saint-Étienne, "La Justice entre la Vérité et la Force", fronton démoli en 1935.
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr).
Chevalier de la Légion d'honneur par décret du 11 août 1866, en qualité de graveur de médailles. (Source : LH/1839/51).
Il étudia la sculpture chez PRADIER et DAVID (d'Angers), et la gravure en médailles chez GALLE. En 1843, il remporta le premier grand prix de Rome. Pendant son séjour à Rome, il envoya des médailles d'après l'antique, entre autres celle de Mercure. De retour à Paris, il se consacra exclusivement à la gravure en médailles; les principales pièces qu'il a produites sont : Les Villes d'Algérie faisant leur soumission à la France; le type de la pièce d'or de 20 fr. à l'effigie de la république, pour lequel il remporta le premier prix au concours ouvert en 1848; le maréchal Bugeaud (1853). La Découverte de Ninive; les statues équestres de Napoléon 1er, érigées à Lyon et à Cherbourg; La Pacification de l'Algérie; L'Emprunt de 500 millions, pour le ministère des Finances; La france et l'Angleterre, pour la manufacture d'armes de Saint-Etienne; Garibaldi, pour la ville de Salins, etc. M. MERLEY a exécuté aussi plusieurs camées, qui ont paru aux expositions d'art. Il a reçu une médaille de deuxième classe en 1851. Cf : Nouvelle Biographie Générale, par J.C.F. HOEFER, 46 tomes, 1852.
(source : Archives de Biographie Française, microfiche n° 732, page 358).
Il fut élève de GALLE, de PRADIER et de DAVID d'ANGERS, grand prix de gravure en 1843, 1er prix au concours des monnaies, 1848, 3e médaille en 1851, 1857, 1861, 1863, mention honorifique en 1855, 3e médaille à l'exposition Universelle de 1867.
Oeuvres : bustes en 1840, St-Etienne en 1842, Arion sauvé par un dauphin en 1843, Les villes d'Algérie se soumettant à la France et têtes et revers de la République Française en 1848, Portraits-médaillons en 1849-1850, Maréchal BUGEAUD, Découverte de Ninive et Pacification de l'Algérie en 1853, Chemins de fer de Paris à la Médiiterrannée et de ceinture, l'Agriculture, et Napoléon III en 1855, Emprunt des 500 millions en 1857, Portraits, médaillons et camées en 1857, Voyage de la Reine Victoria en France et Traité de commerce entre le France et l'Angleterre en 1863, Acte de courage du général LAGLéE en 1865, Palais de Longchamps à Marseille en 1867, voyage de Napoléon III en 1868, pont-viaduc d'Auteuil en 1869, médaille de la Société Industrielle de St-Etienne en 1872, Cour du louvre de P. LESCOT en 1874, la Justice, la Vérité et la Force. Cf : Dictionnaire biograpgique... des hommes les plus remarquables, etc., par A. DANTES, pseud., 1875.
(sources : Archives de Biographie Française, microfiche n° 732, page 359).
Entré à l'Ecole des Beaux-Arts le 2 octobre 1838. Prix de Rome en 1843 (gravure en pierres fines) sur Arion sauvé des flots. Cf : Dictionnaire Général des Artistes de l'Ecole Française, etc., 2 tomes Supplément, 1882-87, par E. BELLIER de LA CHAVIGNERIE, continué par L. AUVRAY.
(sources : Archives de Biographie Française, microfiche n° 732, pages 360 à 363).
Il vint à l'âge de vingt trois ans, à Paris, où il reçut des leçons de GALLE, de DAVID et de PRADIER. Peu après, il entre à l'Ecole des Beaux-Arts où il remporta, en 1843, le grand prix de gravure en médailles.
Décoré de la Légion d'honneur en 1866, il a obtenu le premier prix au concours des monnaies de 1848, une deuxième médaille en 1851, trois rapples en 1857, 1861, 1863, une mention en 1853 et une troisième médaille à l'Exposition Universelle de 1867. Cf : Dictionnaire Universel Illustré Biographique... de la France Contemporaine, etc., par J. LERMINA, 1884.
(sources : Archives de Biographie Française, microfiche n° 732, page 364).
MERLEY (Louis), sculpteur et graveur sur médailles, né à St-Etienne le 7 janvier 1815, mort le 17 septembre 1883 à Paris (Ec. Fr).
Elève de PRADIER, DAVID d'ANGERS et de GALLE, entra à l'école des Beaux-Arts, le 2 octobre 1838. Prix de Rome en 1849. Débuta au Salon de 1840. Médaillé en 1851 et en 1867 (E. U.). Chevalier de la Légion d'honneur en 1866. Le musée de St-Etienne conserve de lui : Fragment de la frise du Parthénon, - Arion sauvé par un dauphin, - Figure académique, - Génie Stéphanois, - Médaillon du docteur ESCOFFIER, - La Justice entre la Vérité et le Force, - La Justice protège l'Innocence, - Plusieurs de ses statues se trouvent également au Louvre et à l'Hôtel de Ville de Paris
(source : Dictionnaire des Peintres, Sculpteurs, Dessinateurs et Graveurs, tome VII, page 347).
Jean-Claude TISSOT, apprenti de son père Jacques, passe les vingt-quatre premières années de sa vie, dévoré par le souci d'apprendre et travaille en compagnie de son ami Louis MERLEY, dans le calme reposant du quartier de la Palle. Puis , ensemble, en 1835, ils partent pour Paris.
(source : Gravure Moderne de Saint-Etienne, par Maurice FORISSIER, page 45).
Graveur de médailles et pierres fines et sculpteur, Paris, XIXe siècle. Elève de GALLE (médailles), de DAVID d'ANGERS, de PRADIER (sculpture) et de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris, 1838. Premier Grand Prix de Rome (gravure en pierres fines) sur Arion sauvé par un dauphin, 1843 (Ecole Beaux-Arts Paris, Salle des Grands Prix de Sculpture; mod. Musée de Saint-Etienne). Exposa au Salon de Paris, depuis 1840. Même source pour ses oeuvres.
(Source : Dictionnaire des Artistes et Ouvriers d'Art du Lyonnais, par Marius AUDIN et Eugène VIAL, 1919, tome II, page 33).
Elève de PRADIER, David d'ANGERS et de M. GALLE, entré à l'Ecole des beaux-arts le 2 octobre 1838, prix de Rome (gravure en pierres fines) 1843, sur : Arion sauvé des flots; méd. 2e cl. 1851; rapp. en 1857, 1861 et 1863; chevalier de la Légion d'honneur en 1866, méd. 3e cl. 1867 (E.U.). Même source pour ses oeuvres.
(source : Dictionnaire Général des Artistes de l'Ecole Française, par Emile BELLIER de LA CHAVIGNERIE, réimpression de l'édition de 1882-1885, Londres, 1979, volume 3, pages 74-75).
Un de nos compatriotes, mort récemment, a maintenu fermement à Paris, jusqu'à ces derniers temps, le niveau de notre réputation séculaire : M. Louis MERLEY, ancien grand prix de Rome pour la gravure en médailles, a fourni dans cette branche de l'art, à une époque plus ingrate, des oeuvres d'un réel mérite, se rapportant presque toutes à la période du second empire. Je citerai, parmi elles, la médaille comémorative du monument de Napoléon 1er à Lyon (1859), celle frappée en mémoire des fouilles d'Assyrie (1853), celle de la pacification de l'Algérie, celle de sainte Clothilde (1857) et enfin, pour terminer, par une médaille doublement stéphanoise, celle comémorative de la fabrication à Saint-Etienne de fusils pour l'armée anglaise, notre allieé à Sébastopol (1855).
(source : Le Forez Pittoresque, par F. THIOLLIER, volume textes, page 417).
Graveur de médailles, 1er grand prix de Rome en 1848, il a composé le groupe Le justice, la Vérité et la force pour le palais de justice de Saint-Etienne.
(source : Le Forez Pittoresque, par F. THIOLLIER, volume textes, page 441).
Elève de DAVID d'ANGERS, et de PRADIER pour la sculpture, et de GALLE pour la gravure en médaillles, il remporta le 1er prix de gravure et médailles et pierres fines, en 1843, sur le sujet : Arion sauvé par un Dauphin. Membre de la Légion d'honneur.
Pendant son séjour en Italie il exécuta comme premier envoi la Restauration d'un fragment de la frise du Parthénon et une cornaline gravée d'après le buste en bronze d'Anacréon, puis, comme dernier envoi, une médaille représentant la pacification de l'Algérie.
De retour à Paris en 1848, il remporta au concours le prix de la monnaie d'or de vingt francs et de dix francs qu'il fut chargé d'exécuter ainsi qu'une médaille de récompense à l'effigie de la République.
On cite de lui : le Maréchal BUGEAUD : la découverte des ruines de Ninive; Chemin de fer de ceinture, pont de Bercy; Chemein de fer de Lyon à la Méditerrannée; Eglise Saint-Clotilde à Paris; Emprunt de 500 millions; Voyage de la reine Victoria en France; Traité de commerce entre la France et l'Angleterre; Palais de Longchamp à Marseille; le Tribunal de Commerce de Paris; Staute de Napoléon 1er à Cherbourg; Voyage de Napoléon III en Algérie; les Abattoirs généraux de la ville de Paris; le Point-Viaduc d'Auteuil; Acte de courage de Naglec, guerre d'Amérique; Médaille des récompencces de l'Académie des Iles Baléares (Espagne); Médaille des récompences d'architecture aux Expositions; Médaille des récompences des Sociétés de tir au pistolet et à la carabine.
Comme sculpture : Deux groupes en pierre pour la réunion du Louvre aux Tuileries; Un fronton représentant la chasse et deux pendentifs au Louvre; place du Carrousel; Statue d'Aristarque pour la cour du Louvre; Couronnement du Palais de Justice de Saint-Etienne (Loire), représentant la Justice, la Vérité et le Force, figure de 4m50 de proportion.
Trente portraits ou sujets en pierre fines, etc...
(source : Médailles et Jetons de la Ville de Lyon, par E.L.G. CHARVET, Chalon-sur-Saône, 1907-1909, pages 404 à 408 et Pl. VII).
Il étudia la sculpture chez PRADIER et DAVID (d'Angers), et la gravure en médailles chez GALLE. En 1843, il remporta le premier grand prix de Rome. Pendant son séjour à Rome, il envoya des médailles d'après l'antique, entre autres celle de Mercure. De retour à Paris, il se consacra exclusivement à la gravure en médailles; les principales pièces qu'il a produites sont : Les Villes de l'Algérie faisant leur soumission à la France; le type de la pièce d'or de 20 fr. à l'effigie de la république, pour lequel il remporta le premier prix au concours ouvert en 1848; le maréchal BUGEAUD (1853). La Découverte de Ninive; les statues équestres de Napoléon 1er, érigées à Lyon et à Cherbourg; La pacification de l'Algérie; L'Emprunt de 500 millions, pour le ministère des Finances; La France et l'Angleterre, pour la manufacture d'armes de Saint-Etienne; Garibaldi, pour la ville de Salins, etc. M. MERLEY a exécuté aussi plusieurs camées, qui ont paru aux expositions d'art. Il a reçu une médaille de deuxième classe en 1851. G.de F.
(Source : Nouvelle Biographie Générale, par FIRMIN-DIDOT Frères, tome 35, 1968, page 81).
MERLEY (Louis)
TETAZ (Jacques-Martin), architecte, né à Paris le 6 mars 1818, décédé à Rueil le 16 octobre 1865. -- Médaillon en marbre (Diam. 0m47). Signé : L. MERLEY. Le monument de TETAZ, élevé sur les dessins de DUBUISSON, architecte, a été gravé par J. HUGUENET (60e div).
(Source : Nouvelles Archives de l'Art Français, 3ème série, tome XIII, année 1897, Paris, réimpression, 1973, page 185).
Sculpteur et graveur en médailles, entra à l'Ecole des Beaux-Arts le 2 octobre 1838 et fut élève de PRADIER, de DAVID d'ANGERS et du graveur André GALLE. Il débute au salon de 1840 et obtint le premier grand prix de gravure en médailles en 1843, sur bas-relief représentant Arion sauvé des flots. Il partit ensuite pour l'Italie d'où il revint en 1848, reparut au Salon de 1850 et exécuta alors un grand nombre de médailles qui lui furent commandées par l'Etat. Il remporta une médaille de deuxième classe en 1851, des rappels en 1857, 1861 et 1863, une mention honorable à l'Exposition universelle de 1855 et une médaille de troisième classe à l'Exposition universelle de 1867. Il reçut la croix de la Légion d'honneur en 1866. Comme sculpteur, il travailla pour la cour du Louvre, les Tuileries et l'Hôtel de Ville de Paris. On lui doit aussi la décoration du fronton du Palais de Justice de Saint-Etienne.
(Source : Dictionnaire des sculpteurs de l'Ecole Française au XIXème siècle, par Stanislas Lami, tome troisième, Paris 1919, pages 439 à 443).
Les Frontons du Louvre - Aile de Flore - Le Fronton de Louis MERLEY
L’Aile de Flore est dominée par huit frontons. Le plus à gauche est celui de Louis MERLEY en 1866.
Louis MERLEY (Saint-Étienne, 6 janvier 1815 - Paris, 17 septembre 1883), est un graveur et sculpteur français. Il n'a pas eu une production sculpturale très importante mais produira beaucoup de travail en glyptique. Il naît à Outre-Furan (commune rattachée à Saint-Étienne en 1855) dans une famille d'armuriers et graveurs sur armes. À la suite de son père, Jean-Baptiste MERLEY, il reçoit un enseignement de son frère Pierre (1804-1837), puis suit les cours de David d'ANGERS à l'École des beaux-arts de Paris1. Il obtient le Grand prix de Rome en 1843 en gravure (médaille et pierre fine), avec Arion sauvé des flots (mais il était le seul compétiteur). Il remporte le prix de 10 000 francs pour le concours en vue de l'émission de la nouvelle pièce française de 20 francs-or (Louis d'or ou Napoléon) émise par la Deuxième République. Cette pièce est frappée en 1849, 1850 et 1851, et un module de 10 francs-or (demi-Louis) en 1850 et 1851. Ces pièces, émises à des tirages assez faibles, restent plus rares que les autres Louis d'or de la deuxième moitié du XIXe siècle. Le dessin reprend l'effigie de la déesse Cérès, couronnée d'épis, proche de celle gravée par Eugène-André OUDINÉ à la même époque, mais regard dirigé à droite. Ce graveur ne produira que ce type de monnaie. Ce dessin de monnaie sera reproduit en module de 5 francs-or en 1878 et 1889 (quelques dizaines de pièces rarissimes) et au module de 10 francs-or en 1878, 1889, 1895, 1896 et 1899 (seules les trois dernières années ont des tirages plus importants mais restent très rares). Il enseigne à l'École des beaux-arts et a pour élèves entre autres Alfred BOREL (1902 - 1997) et Hubert PONSCARME (1827 - 1903). Il est fait Chevalier de la Légion d'honneur. Une rue de Saint-Étienne porte son nom.
(Source : https://www.paristoric.com/media/system/css/modal.css?7e239db358ca1386cd1651a6943d09f6).

MERLEY Louis
MERLEY Jean-Baptiste
 
 
BAROULLIER Jeanne
 
 


                     


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