Fiches individuelles


MERLEY Catherine
Naissance : 15 avril 1642 à Saint-Genest-Lerpt 42

Père : MERLEY Barthélemy ( ? - > 1669 )
Mère : TERRASSE Benoîte ( 1615 - 1688 )

MERLEY Catherine
MERLEY Barthélemy
MERLEY N...
 
TERRASSE Benoîte
 
 




MERLEY Claude
Naissance : 12 décembre 1702 à Saint-Etienne 42 paroisse Notre-Dame
(Source : voir fichier Geneanet de Dominique Faletta Celdran).

Père : MERLEY Pierre ( 1667 - 1744 )
Mère : GIRARD Pernette ( 1673 - 1747 )

MERLEY Claude
MERLEY Pierre
MERLEY Jacques
CHOTET Etiennette
GIRARD Pernette
 
 




MERLEY Claude
Naissance : 26 août 1704 à Saint-Etienne 42 paroisse Notre-Dame
(Source : voir fichier Geneanet de Dominique Faletta Celdran).

Père : MERLEY Pierre ( 1667 - 1744 )
Mère : GIRARD Pernette ( 1673 - 1747 )

MERLEY Claude
MERLEY Pierre
MERLEY Jacques
CHOTET Etiennette
GIRARD Pernette
 
 




MERLEY Claude
Canonnier

Naissance : 7 octobre 1732 à Saint-Etienne 42 paroisse Notre-dame
(Source : voir fichier geneanet de Stephany Roche).
Décès : 17 février 1812 à Saint-Etienne 42
(Source : voir fichier geneanet de Stephany Roche).

Père : MERLEY Jean-Baptiste ( 1687 - 1781 )
Mère : CALONIER Catherine ( 1699 - 1782 )

Union : GILLIER Etiennette ( 1734 - 1789 )
Mariage religieux : 24 septembre 1754 à Saint-Etienne 42 paroisse Notre-Dame
(Source : voir fichier geneanet de Stephany Roche).
Enfants : MERLEY Jean ( ~ 1758 - ? )
MERLEY Marguerite ( 1771 - 1853 )
MERLEY Claude
MERLEY Jean-Baptiste
MERLEY Jean
JOANNARD Claudine
CALONIER Catherine
CANONIER Aymard
DESHOMMES Benoîte




MERLEY Claude
Canonnier, contrôleur dans les manufactures d'armes de guerre - Chevalier de la Légion d'honneur

Baptême : 20 mai 1784 à Saint-Etienne 42 paroisse Notre-Dame ( Source )
Né le 18, il eut pour parrain Claude MERLEY, maître canonier, son aïeul, et pour marraine Alexis TAVERNIER, épouse d'Etienne MEYRIEUX aussi cononier, son aïeule, qui ne savent signer.
Décès : 20 août 1862 à Saint-Etienne 42 dans son domicile, 8 place Chavanelle ( Source )

Père : MERLEY Jean-Baptiste ( ? - ? )
Mère : MERIEUX Marie ( ? - ? )

Union : MÉRIEUX Marie-Louise ( ? - < 1862 )
Note individuelle : Saint-Etienne (Loire), XIXe siècle; Il fut, sous l'Empire, réviseur des manufactures impériales à Turin, en 1809, puis à Saint-Etienne, en 1812; contrôleur dans cette ville, en 1813.
(Source : Dictionnaire des Artistes et oOuvriers d'Art du Lyonnais, par Marius AUDIN et Eugène VIAL, 1919, tome II, page 33).
Il marcha sur les traces de ses parents, dont plusierus s'étaient fait un nom dans l'arquebuserie.
Dès l'âge de 13 ans, il entra comme élève canonnier à la manufacture de notre ville, devint trois ans après maître canonnier, puis le 3 novembre 1804, maître dresseur. Le 14 novembre 1809, une décision ministérielle l'appela en qualité de réviseur dans celles des manufactures de l'Empire où le directeur général de ces établissements jugerait sa présence nécessaire au besoin du service. Dirigé sur celle de Turin, il se fit remarquer par une grande intelligence; capable et consciencieux, il remplit si dignement les devoirs de son emploi qu'il se fit considérer de ses supérieurs et aimer de ses ouvriers; et quand ceux-ci le rencontraient la nuit dans les rues de Turin, ils s'écriaient : "Signor padre", et l'accompagnaient jusqu'à son domicile.
Rappelé à la manufacture de Saint-Etienne le 31 août 1812, son séjour fut de courte durée. En récompense des services qu'il avait rendus, le ministre, par une décision du 18 novembre 1813, le promut au rang des contrôleurs de deuxième classe dans les manufactures d'armes. Il passa à celle de Maubeuge, où il redoubla de zèle et d'efforts pour mériter la confiance et la distinction qui venait de lui être accordée.
En 1814, les alliés tentèrent de s'emparer de la manufacture de Maubeuge; l'attaque fut vigoureusement repoussée par les ouvriers armuriers, qui coururent aux armes. MERLEY qui commandait plusieurs canons sur la partie des bastions où le feu de l'ennemi était dirigé avec le plus de violence, eut la douleur de voir tomber mort à côté de lui cinq ou six ouvriers dont le sang jaillit jusque sur son vêtement. Ce courageux contrôleur ne quitta son poste qu'après la retraite des alliés. Un ordre ministériel du 14 mai 1822 le fit revenir à la manufacture de notre ville, où il continua ses fonctions jusqu'au 8 août 1848, époque à laquelle il obtint une pension de 1 300 francs sur les fonds de l'artillerie et du génie.
MERLEY était un des contrôleurs les plus capables des manufactures d'armes de l'Etat.
Il avait obtenu à Maubeuge la décoration du Lys, fut nommé membre de la Légion d'honneur par décret du 25 octobre 1849, et termina sa longue carrière à l'âge de 78 ans.
(Source : Notices Biographiques Stéphanoises, par M. DESCREUX, page 243).
Dès l'âge de treize ans, il entra à la manufacture de Saint-Etienne comme élève canonnier, fut nommé maître à seize ans, ma^tre dresseur à vingt ans. Un arrêté ministériel du 14 novembre 1809 lui conféra le titre de réviseur, et statua qu'il irait exercer ce contrôle dans toutes les manufactures de l'Empire où il serait appelé par les directeurs. La première qu'il visita fut celle de Turin, où il rendit de grands services, se fit estimer de ses supérieurs et aimer de ses ouvriers. En 1812, il passa à Saint-Etienne, mais dès l'année suivante, le 19 novembre 1813, il fut promu contrôleur de 2e classe et envoyé à Maubeuge, où il justifia pleinement, par son zèle et son intelligence, l'avancement qu'il venait d'obtenir. Il se distingua notamment en 1814, quand les alliés tentèrent un coup de main sur la manufacture. Leur attaque fut vigoureusement repoussée par les ouvriers, qui coururent aux armes; plusieurs furent tués à côté de MERLEY, qui dirigeait une batterie. En 1822, une nouvelle décision ministérielle le ramena à Saint-Etienne, où il fut employé jusqu'au 8 août 1848, époque où il se retira avec une modeste pension de mille trois cents francs sur les fonds de l'artillerie. Il comptait alors plus d'un demi siècle d'honorables services comme employé dans les établissements de l'artillerie et du génie.
MERLEY était un des contrôleurs d'armes les plus expérimentés et les plus capables des manufactures de l'Etat. C'était, de plus, un homme si modeste qu'à diverses reprises, il refusa le grade de contrôleur principal, sous prétexte que tel ou tel de ses collègues le méritait plus que lui; si modeste, que bien des gens n'apprirent qu'à sa mort qu'il était chevalier de la Légion d'honneur (du 25 octobre 1849), et décoré aussi de l'Ordre du Lys (cf :Panthéon de le Légion d'Honneur, par T. de LAMATHIERE, 22 tomes, 1875-1911).
(Source : Archives de Biographie Française, microfiche n° 732, page 355 à 357).

MERLEY Claude
MERLEY Jean-Baptiste
MERLEY Claude
 
MERIEUX Marie
MEYRIEUX Etienne
 


                     


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