La Guerrière


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Caractéristiques

La Guerrière est une frégate mixte de 1er rang construite selon les plans de Boucher et Masson aux chantiers navals de Brest et transformée sur cales. Elle fut mise sur cales le 8 juin 1848, et son lancement eut lieu le 3 juin 1860. Elle fut en service du 22 octobre 1861 au 28 mai 1888, date à laquelle elle est « rayée », avant sa démolition en 1912.

la Guerrière

C’était un navire à la coque bois, avec des dimensions de 78m 10 x 14m56 x 6m53, jaugeant 3596 tonneaux, pour un équipage de 466hommes (545 en 1866). En 1880, elle était armée de 30 canons de 30 rayés pour la batterie 1, et de 4 canons de 30 rayés pour la batterie 2. Il faut rajouter à cet armement 4 canons de 14 cm et 1 de 4 cm sur les gaillards. La propulsion s'effectuait au moyen d'une machine Creusot de 600 CV, avec une hélice à puits. 

Historique

la Guerrière

En mai 1858 la Guerrière est transformée selon les plans de Courtebaisse. En décembre 1858 les plans sont modifiés par de Robert.
Elle quitte Brest le 12 novembre 1861, faisant partie de l'escadre du contre-amiral Jurien de La Gravière au Mexique. En plus de son équipage de 600 hommes, elle avait embarqué 1280 hommes des troupes de Marine et 250 chevaux, du corps expéditionnaire à destination du Mexique. La Guerrière va à Ténériffe (Canaries), lieu où elle rejoint l'escadre qui appareille de la rade de Santa-Cruz le 25 ou le 26 novembre. Le navire est à la Martinique le 9 décembre. L'escadre appareille de Fort-de-France le 17 décembre, mouille en rade de Kingston (Jamaïque) le 22, et arrive à la Havane le 27. Le 2 janvier 1862, l'escadre quitte la Havane, et elle mouille  le 7 au soir en rade de Sacrificios, devant Vera-Cruz.
Le 30 septembre 1862, on retrouve la guerrière en rade de New-York, ainsi qu'en juillet 1863, avant de passer au bassin dans cette même ville, en octobre 1863 pour étancher une voie d'eau. Puis elle quitte New-york pour la Guadeloupe, et arrive à la Martinique en décembre 1863. Le 15 janvier 1864, elle appareille pour Brest. En 1865-1866, elle est stationnée en Chine, où elle mouille le 7 juin 1866 à l'entrée du Wan-Poo, qui arrose Shangaï, sous les ordres du Commandant de vaisseau Olivier. En octobre 1866, elle participe à la campagne de Corée et à la prise de Kan-Hoa. Le 29 novembre 1867, la Guerrière embarque deux compagnies d'Infanterie de Marine à destination du Japon, puis appareille de Hong-Kong pour la France, le 5 février 1868, toujours sous les ordres du commandant de vaisseau Olivier.
L'année 1869 voit la transformation de la Guerrière en transport à deux batteries avec d'un pont supplémentaire allant de l'avant à l'arrière du navire au-dessus le pont supérieur, que l'on appelle spardeck, dans les chantiers navals de Lorient. Et en janvier 1870, toujours à Lorient, elle est armée en transport de troupes et désignée pour effectuer le transfert des insurgés de la Commune.
En 1871, après avoir rapatrié les prisonniers français d'Allemagne, elle assure le transport des déportés en Nouvelle-Calédonie, sous les ordres du capitaine de frégate Boucarut. Le 20 avril 1872, elle se trouve en rade de l'île d'Aix où elle doit normalement embarquer de jour-là des passagers et des troupes. un article donne le liste de son état-major. En juin 1872, la commission médicale chargée de vérifier la compatibilité de l'état de santé des déportés de la Commune  avec leur transfert en Nouvelle-Calédonie a examiné les prisonniers.
En juin 1873, la Guerrière doit réarmer à Toulon, afin de remplacer à Alger l'Ardèche, ce navire étant affecté à la transportation en Nouvelle-Calédonie. Le 5 juillet, son commandant, le captaine de Frégate Boucarut décède à l'hôpital de Toulon. Le navire est prévu entrer en réserve de 3ème catégorie le 1er octobre.
En février 1874, le médecin de 1ère classe Gailhard,se voit décerner un témoignage officiel de satisfaction de la part du ministre de la Merine, pour sa relation au point de vue médical, de la mission en Nouvelle-Calédonie du transport mixte la Guerrière (1872-1873). En mai, le bâtimet passe en réserve de 2ème catégorie, toujours à Toulon. Le 1er juillet, il entre en armement pour essais, sous les ordres du capitaine de frégate Delassaux et procède, fin juillet début août aux essais de sa machine. Le navire est en rade mi-août.
En réserve à Toulon, la Guerrière est désignée par le ministre de la Marine, pour effectuer vers le 1er mai 1875 un voyage vers le Sénégal, en remplacement de l'Hermione, et est en armement à la mi-avril. C'est la capitaine de frégate A. R. Saillard qui assurera le commandement, ayant été nommé par décision du Président de la République du 6 avril. Le navire doit prendre en charge du matériel et du personnel destinés au Gabon et appareiller le 10 mai. Il quitte effectivement Toulon à cette date, à 15h00, faisant route vers Dakar. Le 6 juillet 1875, il n'était pas encore de retour à Toulon, où il sera placé en réserve n° 2.
Après cette date et jusqu'en 1879, on ne trouve pas trace de la Guerrière dans les Tablettes des Deux Charentes.
En janvier 1879, l'aide-médecin Couteaud embarque sur la guerrière, et c'est le capitaine de frégate Panon du Hazier qui en prend le commandement. Embarque également le lieutenant de vaisseau Puech. Fin janvier 1879, le navire est maintenu en réserve 1ère catégorie. Le 8 février, le commandant Panon du Hazier et le lieutenant Puech débarquent, suite au désarment du bâtiment.
En février 1880, des ordres sont donnés pour faire passer au bassin et remettre en état la Guerrière, qui n'avait pas navigué depuis plusieurs années.
En avril 1881 ambarquent sur la Guerrière, le capitaine de frégate Le Bourgeois, en qualité de commandant, les lieutenants de vaisseau de Percin, Tessayre, les enseignes de vaisseau Guth et Mourre, le médecin de 1ère classe Chevalier. Le 13 avril 1881, le navire quitte Toulon pour l'Algérie. Fin avril des troupes sont envoyées en Algérie, et la Guerrière est prévue pour embarquer le 20ème régiment d'Infanterie de Ligne en entier, et 200 hommes du Train, et prendra la direction de La Calle, en Algérie. Emlle quitte Toulon le 3 mai avecles transports l'Algésiras, l'Intrépide et l'Yonne. Ces bâtiments emmènent des troupes dont une partie doit renforcer la brigade Maurand qui occupe Bizerte, en Tunisie. L'autre partie est destinée à renforcer les colonnes opérant sur la frontière algéro-tunisienne, et débarquera à Bône, en Algérie. Le 13 mai 1881, la Guerrière avait quitté Bizerte et le 18 mai elle était rentré à Toulon. Le 11 juin 1881, elle quittait de nouveau Toulon en direction de Tabarka, en Tunisie, puis était le 19 à Alger avec des troupes se Tunisie, et le 2 juillet elle était à Marseille, où elle arriva dans le nuit du 28 au 29 juin, puis elle rallie Toulon dans le 22 juillet au soir. Elle est placée en réserve hors catégorie, et son état-major et son équipage passent sur le Tarn qui la remplace.
La Guerrière termine ainsi sa carrière en participant à l'expédition de Tunisie de 1881, avant d'être désarmée entre 1883. En réserve à Toulon en juillet 1884, le navire est de nouveau désarmé en 1888, date à laquelle il est "rayé", le 28 mai de la liste des navires de la Marine. De 1892 à 1912, la Guerrière est à la caserne des marins vétérans, cette dernière année où elle est démolie.


la Guerrière

2ème convoi de déportés 

la Guerrière

La Guerrière est une ancienne frégate à hélice transformée en transport de troupes, mise en service en 1860 et prévue pour le transport de déportés vers la Guyane. On peutlire dans le Petit Journal du 5 avril 1872, page 2 : On écrit de Lorient que la frégate mixte la Guerrière, entrée en armement le 25 mars dernier, a reçu l'ordre de faire ses dispositions pour pouvoir prendre à son bord un convoi de 300 transportés, 250 passagers civils et militaires et une grande quantité de matériel. Elle devra appareiller vers le 12 de ce mois et se rendra directement à la Nouvelle-Calédonie.

Le 1er juin 1872, elle charge en rade des Trousses, 125 déportés en provenance de l'île d'Oléron, et le lendemain, 162 en provenance de la citadelle de Saint-Martin-de-Ré. Deux de ces prisonniers, Michaud et Rapin furent débarqués, en attente de leur recours en grâce, qui sera refusé. Il semble qu'un autre détenu aurait quitté le bord, mais il y a là une certaine confusion car on retrouve son nom, Laroche, sur les registres de la déportation. Elle doit ensuite se rendre sur Brest pour y recevoir un complément de condamnés.

Le 3 juin 1872 à 11h40, par vent de nord jolie brise et mer belle, la Guerrière appareille pour Brest, où elle débarque un des déportés du dépôt de Saint-Martin-de-Ré, dirigé sur le fort de Quélern. Le 11 juin embarquent 392 déportés en provenance de ce même fort de Quélern, dont 142 viennent du fort du Hommet à Cherbourg. Parmi ces 142 déportés, qui embarquent le 13 juin, il y a Alfred JULIA, dit Julius PRAETOR, qui raconta ces faits dans son ouvrage paru chez Fayard en 1875, Souvenirs d'un déporté en Nouvelle-Calédonie. Il faut cependant noter que ce personnage est semble-t'il une pure invention. En effet, on ne trouve aucun dossier à l'un des deux noms dans les dossier de bagnard des Anom, les dossiers de communards du SHD, ou les dossiers de demande de grâce.

Tout ceci porte l'effectif total de déportés embarqués à 680, parmi lesquels on peut citer Jourde, Pain et Verdure. Il y a aussi des passagers libres : 6 gendarmes et 4 fonctionnaires de l'Administration pénitentiaire.

Suite à tous ces mouvements la Guerrière quitte Brest pour la Nouvelle-Calédonie le 13 juin 1872. Ce convoi comptera trois morts parmi les déportés. Un nommé Corgelles, phtisique et presque mourant lorsqu'il avait été déclaré "apte au voyage" par la commission de contrôle, dont le président aurait déclaré pour conclure son diagnostique "il faut bien que les requins mangent", meurt le jour du départ est sera immergé. Au cours du voyage, les déportés d'Hainaut et Rossignol décèdent aussi et seront de même immergés.

L'équipage est composé de 226 officiers et matelots, sous les ordres du capitaine de frégate Boucarut. Ainsi près de 900 personnes vont devoir vivre pendant la traversée, ce qui va conditionner les escales, pour cause de ravitaillement nécessaire. L'itinéraire emprunté longe les côtes du Portugal puis celles d'Afrique pour faire une première escale à Gorée le 1er juillet 1872. On profite des quelques jours d'escale pour débarquer à Dakar un fonctionnaire malade, Cordonnier, distributeur de la déportation. Le navire prend ensuite la direction du Brésil, où il arrive vers la fin juillet à Santa-Catarina. Cette escale est la plus longue, car il faut se ravitailler en vivres et en viandes fraîches pour plusieurs semaines. Les déportés en profitent pour acheter des oranges aux marchands venant en barque offrir leurs produits, et Jourde expédie une lettre à sa famille, en date du 14 août 1872. Le reste de l'itinéraire est classique, à savoir Le Cap, le détroit de Bass. 

L'arrivée à Nouméa a lieu le 2 novembre 1872. Deux des déportés, Lemesnager et Mart, dont le premier a vu sa peine commuée en détention, et le second avait été embarqué par erreur, restent à bord de la Guerrière en vue de leur rapatriement en France. Ils seront débarqués 1er mai 1873. Un troisième, Leroy, débarque à Nouméa, mais sera rapatrié par la Garonne lors de son voyage de retour après avoir effectué le troisième convoi de déportés. La Guerrière, après avoir débarqué 445 déportés à l'île des Pins, repart de Nouméa le 14 (ou le 5 selon les sources) décembre 1872, empruntant un itinéraire (page 1, page 2) avec escale dans la baie de Bonne-Anse, et passant au large de Diego-Ramirez et des îles Malouines notamment. Le 13 avril elle est à Lisbonne, et arrive à Toulon le 30 avril 1873. Elle restera armée en vue d'un nouveau voyage en Nouvelle-Calédonie dans les premiers jours de juin.

la Guerrière

Dossier CAOM 

Le dossier de la Guerrière conservé au Centre des Archives d'Outre-Mer à Aix-en-Provence (13) contenait  25 pièces différentes non classées par ordre de date ou autre: 

1- Etat des passagers débarqués du transport la Guerrière à Toulon le 1er mai 1873 (page 1, page 2, page 3, page 4, page 5),

2- Rapport sur le convoi de déportés du 29 novembre 1872 (très intéressant et instructif) (page 1, page 2, page 3, page 4, page 5, page 6, page 7, page 8, page 9, page 10),

3- Lettre du gouverneur de La Richerie au Ministre de la Marine du 2 décembre 1872 (page 1),

4- Lettre du Ministre de la Marine au gouverneur de la Nouvelle-Calédonie du 13 mars 1872 (page 1),

5- Extrait d'un rapport du commandant de la Guerrière du 9 décembre 1872 (page 1),

6- Extrait d'une lettre du gouverneur de la Nouvelle-Calédonie en date du 9 octobre 1872 (page 1),

7- Etat nominatif des détenus déportés partis pour la Nouvelle-Calédonie dont les dossiers n'ont pu être retrouvés dans les archives militaires (page 1),

8- Extrait d'un rapport du commandant de la Guerrière à Dakar le 8 juillet 1872 (page 1),

9- Extrait d'une lettre du commandant de la Guerrière à Dakar le 1er juillet 1872 (page 1),

10- Lettre du Ministre de la Marine au gouverneur de la Nouvelle-Calédonie du 5 juillet 1872 (page 1),

11- Envoi de documents concernant les déportés de la Guerrière du 5 juin 1872 (page 1, page 2),

12- Lettre du Ministre de la Marine convoquant Mr Garat pour prendre place parmi les passagers de la Guerrière (page 1),

13- Billet concernant des passagers de la Guerrière (page 1), 

14- Télégramme pour Mr Cassabois l'invitant à embarquer sur la Guerrière (page 1),

15- Lettre du Ministre de la Marine au Préfet Maritime de Brest du 30 mai 1872 (page 1),

16- Etat nominatif des passagers qui ayant été annoncés ne se sont pas présentés ou n'ont pas été embarqués (page 1, page 2, page 3, page 4, page 5),

17- Note pour la Direction des Colonies du 22 juin 1872 (page 1),

18- Note pour le Cabinet du Ministre en date du 21 juin 1872 (page 1),

19- Lettre du Préfet Maritime de Brest au Ministre de la Marine du 7 juin 1872 (page 1, page 2),

20- Lettre d'information sur les déportés à embarquer sur la Guerrière par le Préfet Maritime de Brest au Ministre de la Marine du 30 mai 1872 (page 1, page 2).

21- Lettre de la 1ère Division militaire au chef de cabinet du Ministre de l'Intérieur du  1er juin 1872 (page 1, page 2),

22- Dépêche télégraphique concernant Claude MICHAUT du 29 mai 1872 (page 1),

23- Liste nominative des condamnés à la déportation détenus au dépôt de déportés de Saint-Martin-de-Ré, et reconnus, par la commission de visite désignée par M. le Préfet Maritime de Rochefort, dans l'impossibilité momentanée, sous le rapport de la santé, de faire la traversée de la Nouvelle-Calédonie (page 1),

24- Liste nominative des condamnés à la déportation détenus au  château d'Oléron, examinés par la commission de visite désignée par M. lePréfet Maritime de Rochefort et reconnus hors d'état de pouvoir être embarqués pour la Nouvelle-Calédonie (page 1),

25- Rapport du directeur du Service de Santé présidant la commission de visite au Préfet Maritime de Rochefort du 30 mai 1872 (page 1, page 2, page 3, page 4).

Liste des condamnés à la déportation en enceinte fortifiée : Pierre AGOSTI, André AGUILHON dit Henri, Pierre Joseph AJOT, Emile Gonzalve ANDRE, Denis ANDRIEU, André Louis ARNAUD, Gilles Auguste Désiré ASSELIN, Paul Marie AUGER, Anne Jérôme Michel AYMARD, Etienne Julien BALSENQ, Paul Louis BARNOUX, Louis BARRE, Raphaël BERTHEZY (ou BERTEZY), Désiré Louis BAUMIER, Jean BEAUFORT, Eugène Désiré BEAUJOUAN (ou BAUJOUAN), Charles BELLOCHE, Benoit BENOIT, Charles Emmanuel BENOIT, Jules Benoit Evariste BERNAERT, Louis Victor BERTRAND, Adolphe Charles BILLAUX, Jules Camille Théodore BINARD, Jean Marie BLANQUE, Auguste BLAISE, Louis BOCK, Victor Edouard BODEREAU, Hippolyte BONNARD, François BONNET, Pierre BONNIN, Joseph BOTTELIER, Léon Albert BOUCHER, Bernard BOURGUIGNON, Jean Constant BRETON, Pierre Claude Hégesippe BRUERE, Joseph BURNETON, François Nicolas CAGNIART, Gilbert Joseph CAILLE, Pierre CARDIN, Antoine Théodore CARDON, Nicolas Victor CASSIN, Pierre Adrien CAUSSIN, Gaston CAULET DU TAYAC, Auguste CERTAIN, Henri CHACHUAT, Henri CHAILLAUX, Pierre CHARBONNEAU, Jacques Etienne CHATEAU, Lucien CHAUMET, Joseph Michel CHENU, Charles Victor CHEVALIER, Alexandre Antoine CHIAPPE, Pierre Arthur CHICALOT (ou CHICHALOT), Jean-Pierre CHRETIEN, Henri Louis CHAMPY, Alexis Jules, Joseph CLAY, Louis Amédée de CLOUDT, Gustave Louis CLAVIER, Mathurin François COLAS, Hippolyte COLLIN, François COQUEY, Victor Ambroise CORARDY (ou CORARD), Prosper CORVISY, Alain COTTY, Louis Benjamin CUVILLIER, Joseph CUVILLIER, Louis DAGOURY, Lucien Edmond DELAMOTTE, Joseph DELBECQUE (ou DELBEC), Henri François DELAPLACE, Jules Ernest DEMORET, François DENELLE, Louis DESCOINS, Emile Constant DESSAINT, Eugène Benoit DEVILLERS, Hippolyte Julien DEVICQUE, Alfred DION, Charles Victor DONZE, Jean-Baptiste Marie DUBREUILH (ou DUBREILLE), Léopold François DUFOUR, Henri DUPUIS, Alfred DURUPTY, Amédée Eugène Jules Gaston DUSSORT, Isidore DUVERGNIER, Hippolyte ENGERRAN, Pierre ESCOFFIER, Pierre FARGETON, Hippolyte FAVEE, Pierre Marie FAVIER (ou FAVIEZ), Marie Pierre FAVRE, Victor FICHET, Louis FLEURY, Gustave Ernest FLICK, Alfred Charles Joseph FOISSARD (ou FOISARDET), Prosper FOLLEZ, Joseph Louis FOUQUE, Jean-Baptiste FOURNY, Hubert Joseph FRAITEUR, Gustave FREBET, Eugène Georges FRETTEY dit Jules, Armand Joseph (ou Jules) FROGE (ou FROGER), Arthur FROMAGET, Jean-Louis GAROCHOT, Louis-Désiré GASNIER, Antoine GAY, Jean François GIBOUIN, Clodion Alfred GILBERT, Florentin GOETZ, Prosper GOIX, Paschal Jean François GROUSSET, Joseph François GUILBERT, Arsène Hubert GUICHARD, Amédée Victor HAUTECLOQUE, Victor Adolphe HERSAN, Léopold HOMERE, Alfred HUET, Joseph Gabriel Auguste HUGONET, Joseph HUMBERT, Alfred JACQUEAU, Louis JARDY, Jules Eugène JOLY, Isidore JULES (Jules Isidore ENON), Pierre JULES dit Alibert ou Arthur Lahitte-Toupierre, Louis KERVISIC (ou KVIZIC), Pierre Théophile KLEIN, Jules Marie KRUEL (ou KUEL), Louis Léon LACASSE, Xavier Onésime LACATTE, Pierre LABBE, Claude LACHAUME, Léon Henri LANDRIEUX, Gustave Louis Joseph LAURENT, Jean-François LAVILLE, Albert LEBLANC, Alphonse Louis LE BOULEUX, Joseph Alexandre LECLERC, Henri Alexandre LECOURT, Florentin Pierre LECREUX, Gabriel Jacques LEDOYEN, Edouard Auguste Omer LEFEVRE, Pierre Prosper Napoléon LENOIR, François Antoine LENOIRE, Adolphe Paul LEROUX, Louis Philippe LESIEUR, Henri Louis LEURIDENT, Pierre LEVEAU, Etienne Jean Pierre LIBERGE, Laurent LIGNEAU, Jules Frédéric LOICHENOLLE, Charles LIGNELEY (ou LIGNELET), Jules Frédéric LONGUEMARE, François Marie Jean-Baptiste LORRAIN dit James, Louis Pierre Marie LUCAS, Charles Antoine LUGOL, Jean-Jacques MAIR, Hector MARCHAL, Victor Joseph Auguste MARTIN, Alfred MATHIEU, Henri MAUGRAS, Eugène Louis MERCIER, Guillaume Frédéric MERTZIG (ou MEITZIG), Henri Edouard MESTRE, Arsène Maurice MEURTIN, Jean-Baptiste MEYER, Pierre Auguste MIGNOT, Edelard (ou Abeilard) MIROT, Armand Damien MIVIELLE, Henri MONBALO (ou MONBALON), Alexis MONTIER (ou MOUTIER), Joseph Jean MOQUET, Louis Etienne MORTEGOUTTE, Casimir MONTROBERT, Jean-Baptiste Hippolyte Alexandre MOREL, Jean-Baptiste MOURANT, Pierre Adolphe NEIN, Pierre NOEL, Alphonse Jean NOLIBOIS, Eugène Albert OMONT, Olivier Alphonse PAIN, Eugène François PAPAULT, Jean-Baptiste PAROT, Victor Félix PATTIER, François PECHINOT, Narcisse Honoré PERDU, Auguste PERNELET, Honoré Charles PHILIPPON (ou PHILIPPE), Hubert Charles PIERRE, Louis Hippolyte PLANQUETTE, Eugène Pascal POIVREAU, Charles Joseph POSENAER (ou POSENAEZ), Jean-Baptiste POTIER, Auguste Hippolyte PREVOT, Jean-Victor PROD'HOMME, Louis Stanislas PRUT, Benjamin RADDAZ, Louis Marie RAVILLY, Hippolyte Jean Michel RENARD, Armand François RINBOEUF (ou RIMBAUF), Clément Paul Pierre RIVES, Léon Joseph ROGIER, Nestor (ou Louis Nestor) ROUSSEAU, Louis Barthélémy ROLET (ou ROLLET), Toussaint Nicolas ROUYER, Jean Conrad SCHNEIDER, Edouard SCHREYECK, Henri François Edme SEGUIN, Emile Potin SENECHAL, Ferdinand SENCIER, Benoît Auguste SERBOUCE (ou SERBOURCE), Louis Alphonse SIMONOT, Etienne SOULIGNOUX, Henri STEIN, Laurent STIFFLER, Maurice TAILLEFER, Jean (ou Jean-Baptiste) TAMET, Auguste TESTART, Louis Victor Célestin THOMAS, Jean-Claude TISSE, Gustave Adolphe VALLEIX, Charles Eugène VASSAUX, Auguste Joseph (ou Augustin) VERDURE, Ernest Pierre VERY, Paul VIGEANT, Augustin Albert VIGIARD dit Marque Mal, Georges Frédéric VULLAUMIER (ou VUILLAUMIER), François Nicolas WERNER, Alexandre WOLOWSKI, Jean-Baptiste Charles XARDEL, Alexis ZABIOLLE, François ZINGUE.

Liste des condamnés à la déportation simple : Antoine ABADIE, Auguste ADET, Charles ADNOT, Julien Félix Frédéric AGNEL, Achille Emile ALBARET, Antoine ALBRECHT, Henri Adolphe ALTHAUS, Jacques AMI, Antoine AMYOT, Albert AMAND, Auguste François ANDRE, Ernest Armand ANDRE, Louis Léon ANQUETIL, Sylvain ARETAUX, Achille Jean-Louis ASSAILLY, Antoine AUBAC, Emile Jean-Baptiste AUCHENE, Georges AUBRUN, Jean Antoine BARTHOLOMEI, Victor Charles BARAT, François BADAULT (ou BADOR) dit Cadol, Guillaume François BARAT, André joseph BARTHELEMY, Jean BARELETTI, Hippolyte BARLIER, Martin Louis BERGER, Jean BERTET, Jean-Baptiste BERTHOLLET, Auguste Pierre BEZY, François BEAUDEAU, Pierre BELLET, Louis Joseph BEAUSIRE, Antoine BENASSY, Arthur Alphonse BERCHER, Pierre Antoine Benfert BERNARD, Ernest BERTHE, Victor BERTHELEMY, Jean BIDON, Jean BICHET, Eugène Jules BICHETTE, Emile BIGNON, Eugène BLONDEAU, Joseph BLONDEL, Maurice BLUM, Gustave BOEGLIN, Antoine Michel BOGEAT, Adrien Joseph BOIDIN, François Ferdinand Zéphirin BOILLOT, Charles Henri (ou Eugène) Joseph BOISSY, Victor BORDIER, Louis Alfred BORDINSKX, Charles Henri BOUCHEZ, Agnan BOUDIN, Christophe François BOUDOT, Georges BOULANGER, Octave BOULET, Frédéric Joseph BOURGOIN, Arsène Théodore BOVAL, Désiré Charles BRAYER, Jules François BRAYER, Paul Théodore BRETON, Henri Jules BREZELAIN, Jules BRISSET, Pierre Marin BURON, Jean-Marie CALLEBOURDIN, Charles Victor CARRIER, Louis Alfred CAILLAUD, Camille Jean CAISEY, Henri Paul CANARD, Jean CARIA, Alfred Florimond CAUVIN, Louis Gabriel CHATEAU dit Léon Cordier, Louis Auguste CHERON, Antoine CHABRILLAT, Jean Roch CHALIER, Honoré Aimable CHARLIER, Jacques Claude CHEVALLIER, Edmond Eugène CHAPELAIN, Eugène Marcellin CHARLES, Alfred CHARPENTIER, Pierre Marie CHASTANG, Auguste CHAYER, Achille Hector CHENE, Antoine Louis CHERON, Louis Clovis CHARPENTIER, Auguste Alexis CLAVEL, Jean-Baptiste Félix CLAIRFONTAINE, Hippolyte Eugène CORDIER-JOLY, Guillaume Paul CORMEDE, Victor Jean-Baptiste Guillaume COSSE, Jean-Baptiste Etienne COLARD, Jean COLLET, Jean Isidore COLLIN, Ernest CORBY, Victor François CORMIER, Hippolyte Marie CORNOT, Augustin Benjamin COSTEY (ou COSTE), Simon COURTADON, Antoine COUTURIER, Pierre Joseph CROSET, Louis Edouard CUTTER, Sylvain Eugène DAIRE, Philippe (ou Hippolyte) César Constant DANRE, Henri DANTRACQUE, Adrien DAMBREVILLE, Arthur Antoine DAUMONT, Jacques Joseph DEFRESNE, Edouard DELATTRE, Georges Philippe DELAUNAY, Antoine DELHOURME, Jean-Baptiste DENAIN, Pamphile DESTORD, Jean François DELAGE dit Liofort, Fulgence Félicien Edmond DELEAU, Henri Claude DELPECH, Ernest Charles Louis DELAHAYE, Amédée DELLIER, Henry DESCARRET, Jules DESLANDES, Charles DEMANGE, Jules DESMARET, Auguste Léon DESPOIX, Paul Emile DESSE, Pierre DESTAEAU, Joseph Dominique DIDION, Jules Nicolas DOUETTE, Pierre DOTTON, Victor-Emmanuel DOUBLET, Adolphe Gustave DOMMANGET, Auguste DREVET, Edmond DURAND, Jules césar DUCHESNE de BRESSY, Joseph Marie DUPERRON, Louis Gabriel DURAND, Alfred DUTAILLIS, Louis Julien DUBOC, Edme Denis DUCAS, Charles Eugène DUCHENE, Germain DUCOUDRAY, Emile Amédée DUHAMEL, Léon Paul DUMONT, Léon Frédéric DUMONT, Edouard DUPUIS, Claude EBERHARD, Julien EVARISTE, Germain Achille EWIGHT, Léonard FAYSSAT, Alexis Victor Julien FASTRE, Marie (ou Marius) FAVIE, Jules Eugène Joseph FAVRY, Louis Félix FAITY, Eugène François FIEVEZ, Alfred FLOURY, Jean Auguste FORT, Edouard FOURCHE, Alfred FOREST, Marie Alphonse FOUQUET, Stanislas Arsène FOURNEAU, Napoléon Laurent FOURNIER, Jean-Baptiste FRISON, Louis FRAPPAT, Pierre Constant FUZIER, Jean Marie FUZIN, Marc GALLOPIN dit Picot, Auguste Guillaume GALTE, Eugène Charles GABORIAU, Just Louis Joseph GADEOIS, Denis Louis Joseph GAILLARD, Pierre GALLION, Michel Eugène GALUT, Joseph GAROCHE, Joseph GARRY, Gilles (ou Jules) Marie GEFFRAY, Maximilien GEORGES, Noël Gabriel GERBRUN, Jean-Jacques GILLET, Emile Jules GILLOT, Alphonse GILLOT, Jules GIRAULT, René Henri GOMER, Alphonse GONZOWSKI, Edouard Cyrille GODART, François Emile GOUFFIER, François GODEL (ou GOUDOT), Antoine GORJAIN, Joseph Eugène GORIUS, François Eugène GOUBET, Jules Zéphir (ouZéphirin) GOUT, Pierre GRANDIN, Emile Jules GRAPPIN, Louis Fénelon GRAS, Emile Hippolyte GUILLAUME (ou GUILLEAUME), Adolphe Edouard GUEGAND, Jacques François GUILLAUME, Vincent GUIGUE (ou GUIGNE), Joseph HATT, Joseph HAMELIN, Jacques Hippolyte HAMET, Joseph Léon HENARD, Wladislas (ou Stanislas) HELGORSKI, Henri HEINS, Alfred Eugène HENRION, Jean HERMANN, Auguste HOCQUARD, Jean-Emile HUBE, Louis Alfred HUBERT, Julien Narcisse HUE, Gaston Désiré HUET, Louis Léon HUGONNET, Charles Eugène Auguste HUMEAU, Jean-Baptiste André IMBERT, Henri Joseph INFRET, Jules ISIDORE, Auguste JABAUD, Alphonse JACQUES, Charles Philibert (ou Chilibert) JARDIN, Etienne JARDY, Auguste JAMOIS, Emile Augustin JEUNSON, François JOURDE, Charles Emile JOREL, Auguste Jean JOUAULT, Félicien Joseph JOB, Henri Jean Alexis JOLLY, Charles Edouard JOLY, Hippolyte Baptiste JUNOT, Auguste KERN, François Xavier KINTZ, Frédéric KLUR, Gaspard KOPP (ou ROPP), Léger LABOISSETTE, Anatole LABOUROT, Louis LAGNEAU (ou LAGNIOT), Victor LAMBRECHT, Jean LAFON, Edouard Pierre LABARRE, Louis Auguste LACOUR, Joseph LAGELEE, Pierre LAGNEAU (ou LAGNIOT), Ernest Henri LAMOUCHE, Gustave Charles LANDRU, François LAPRUGNE, Alfred LAROCHE, Arthur Napoléon LARUE, Pierre Prosper Léon LAUNAY, Jean Ernest LEGRIS, Ludovic LELUAU, Georges Frédéric LEVIN, Victor Jean-Baptiste LEFEVRE, Antoine LEGER, Eugène Louis Gaston LEQUEUX, Charles Louis Désiré LEROY, Charles Emile LECHANTEUR, Florentin LECLERC, Pierre Clément LECOINTRE, Louis LECOLE, François Albert LECOMTE, Henri Louis LELIEVRE, Léonard LENOBLE, Yves Magloire Victor LENOIR, Xavier LEPECHEUR, Edouard LESAGE, Charles LEMESNAGER, Gustave Alphonse (ou Alexandre Félix) LEROY, Achille LIGUE, Louis LOISON, Auguste Nicolas LORION, Félix LUBISZEWSKI, Edouard MARTIN, Louis François MAGNIN, Michel MALUKIEWICZ, Adolphe Narcisse MARCHOIS, Louis François MARIA, Jean-Pierre Désiré (ou Marie) MATHIEU, Emile MASSELOT, François MANEVY (ou MANNVY), François Jules MARCHAND, Désiré MARCHAUDON (ou MARCHANDON), Dominique Ernest MARETTE, François Auguste MARIE, Aubin Alexandre MARQUE, Pierre MARSPOIL, Augustin MARTIN, Emile Casimir MARTIN, Henri Théophile Joseph MAUGER, Louis Jean-Baptiste MAUGEY, Delphin Emile MASSE, Jules MART, Augustin François MENARD, François MEUNIER, Joseph Benjamin MEULEY, Jean Louis Eugène MEUNIER, Louis Joseph MERMET, Joseph MASSELET, Pierre MEUNIER, Jacques Félix MEVREL, Jules Camille Alfred MEYRAND, Daniel Pierre Ferdinand MEYER, Claude MICHAULT, Edme MILLOT, Jacques MIGNOT, Gustave MIGNOT, Eugène Pierre MILLARD, Victor MOREAU, Eugène Charles MOUROT, Louis Léon MONNOT, François MONTANGERON, Augustin MOREL, Jean François Victor MUELLE, Hector MULET, Jules (ou Julien) NACZKOWSKI, Alexandre Frumence NEVEUX, Pierre Jean NICOLAS, Paul Théodore NICOLLE, Edmond Jean Humbert ODIENNE, Pierre OUDOUL, François PALMA, Henri Hippolyte PAPILLON, Jean PAVY, Anatole PAILLET, François PATISSON, Noël PELLETIER, Alphonse PELISSIER, Adolphe PERDREAU, Louis Napoléon PERFUMO, Hippolyte PERNET, Paul PERNET, Martin PERROT, Frédéric Isidore PERROTTE, Louis PERNOT, Frédéric Christian PETER, Jean François Marie PHILIPPOT, Agricol PILLU, Arthène PILLU, Léon André PINSON, Charles Louis PIAT, Martial PIGER, Philippe PIMPAUD, Jules Alexandre Eugène PINARD, Louis Aimé Nicolas PINCON, Auguste François PLESCY, Alexandre Gervais POISSON, Alexandre Stanislas POUILLY, Joseph POUPET, Brice PROST, Mathieu PRUNEYRE, Sosthène Désiré RAPIN, Eugène RAPINKER, Samuel François RAIRIE, Léandre (ou Alexandre) Honoré RAULET, Constant RAMBAULT, Alcide Joseph REYNARD, Pierre RIBEYRA, Emile Alexandre REBOUR, François RENDERS, Louis Joseph RENDERS (ou RANDERS), Rustique Eugène Charlemagne RICHARD, Eugène RICARD, Gervais Théophile RICHE, Emile Joseph RIGER, Constant RINCAZAUX, François Théodore RIVIERE, Clovis ROBERT, Fernand ROBERT, Jules Ernest ROBIN, Honoré Henri ROUQUETTE, Léonce ROUSSE, Henri Gustave ROUSSEAU, Léon ROUYER, Paul ROBIN, Léon Pierre ROCHE, Louis Joseph ROLLAND, Ernest Dieudonné ROSSIN, Auguste Albert ROUX, Jean ROUX, Adolphe ROLLIN, Léonard Edouard Alphonse SAINT-BRIS, Léon Jean SARON, Hector Léopold SAUVAGEOT, Dominique François SABATIER dit Flèche, Louis Léon SABAU, Paul Auguste SABOURIN, Alexandre SAUVAGEON, François Antoine SCHWEIDER, Eugène SCHMIT, Pierre SCHERER, Nicolas SELLIER dit Clément, Jean Baptiste SEVOZ, Pierre SELLENET, Adolphe Edilbert SIMON, Georges SIMON, Henri SIEGE, Louis Joseph SIMONET, Antoine SIGNARBIEU, Vincent Constant SIMONIN, Florentin SOIPTEUR, Adolphe SOMMELIER, Sylvain SOULAS, Jean-Marie SPEURUS, Jean Joseph STAUSS, Jean (ou Jean-Baptiste) STEIN (ou STEIL), Pierre SUBERT dit Louis, Louis François TABOUROT, Denis Eutrope TEMPIER, Hippolyte TERRAL, Jean Auguste Alexis TESSEREAU dit Tessereau Aîné, Jean-Baptiste Félix THOMAS, Louis THIBAUDET, Paul THURIEZ, Pierre TREVENIAUX, Joseph THEVENOT, Louis Jean THIBAULT, Léon Jules THOMAS, Emile Cyprien TIROT, Jules TORDEUX, Pierre TROTTIER, Louis TROUTET, Baptiste TUEUR, Louis Marin (ou Maria) TUFFIER, Léon Emmanuel VANOSTAL, Jules Marcel VAILLANT, François VARIN (ou WARIN), Alfred Jean-Baptiste VASSEUR, Julien Nicolas VAUTIER, Alfred Henri VENET, Baptiste VERGNAUD, Henri Ernest VERITE, François Auguste VERNEAU, Auguste VIGNALY, Jean-Baptiste VIDAUD, Louis Charles Joseph VIGNON, Eugène VINCENT, Emile VOTTE, François Auguste VUAILLAT, Emile WAGNER, Jean Baptiste WATCHER, Georges Mathias WEBERT, Jean Pierre WIRION, Baptiste WOILLET.

Pour tout renseignement concernant ces prisonniers, vous pouvez me contacter (ici). Les photos des Communards utilisées dans cet article proviennent du site http://digital.library.northwestern.edu, avec l'aimable autorisation du webmestre du site pour leur utilisation ici. Les photos présentées correspondent en principe aux personnages, mais une erreur d'identification est toujours possible. Pour les communards originaires du Finistère, vous pouvez consulter le site de Patrick Milan, pour ceux originaires d'Arcueil (Val-de-Marne), vous pouvez consulter le site d'Annie Thauront, avec également un article sur le député de la Guadeloupe Melvil-Bloncourt, condamné à mort pour sa participation à la Commune.



Sources
:

- Déportés et forçats de la Commune : de Belleville à Nouméa, par Roger Pérennès, Nantes, Ouest Editions, 1991.
- Site Internet http://www.dossiersmarine.fr.
- Dossiers des navires au Centre des Archives d'Outre-Mer à Aix-en-Provence, série H30.
- Site Internet http://amicale2rima.fr/index.php/traditions/histoire-tdm/avant-le-20eme-siecle/53-la-venture-mexicaine-1862-1867.
- Il y a 120 ans, les troupes de Marine au Mexique, par F. L.
- Courriels de Chantal Kroliczak.
- Le Petit Journal du 5 avril 1872.
- Journal Les Tablettes des Deux Charentes de 1871 à 1884.

Crédits photographiques :

- Site Internet http://www.dossiersmarine.fr pour la photo de la Guerrière.
- Numérisations archives par Bernard Guinard.
- Photos envoyées par Claude Millé.
- Numérisations de pages de la Revue Hydrographique de 1873, envoyée par Jean-François Lonc.
- Site Internet http://www.parisrevolutionnaire.com/spip.php?article2770 (photos de Pierre Charbonneau).
- Encyclopédie en ligne Wikipédia.
- Ile d'exil, terre d'asile, catalogue de l'exposition, Musée de la ville de Nouméa, 2005.
- Collection Christine Huet.

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